UndeuxiĂšme Ă©pisode qui mise tout sur l’humour et oublie du mĂȘme coup d’ĂȘtre effrayant RETURN OF THE LIVING DEAD 2 1988 – USA RĂ©alisĂ© par Ken Wiederhorn Avec James Karen, Thom Matthews, Michael Kenworthy, Marsha Dietlien, Dana Ashbrook, Thor Van Lingen, Jason Hogan THEMA ZOMBIES I SAGA LE RETOUR DES MORTS-VIVANTS
FrĂ©dĂ©ric Fleischer & Joachim Latarjet ven. 29 oct. 2021 22h15sam. 30 oct. 2021 22h15 grande salle 1h environ en anglais sous-titrĂ© en français offre dĂ©couverte + gĂ©nĂ©rique MUSIQUE LIVE de et avec FrĂ©dĂ©ric Fleischer programmes, guitare, Joachim Latarjet trombone, guitare, basse, sur une idĂ©e de FrĂ©dĂ©ric Fleischer, rĂ©gie son Tom MĂ©nigault, photo © Gestuelle. Production dĂ©lĂ©guĂ©e, diffusion Le Monfort théùtre, Paris. Production Cie Oh ! Oui. FILM La Nuit des Morts-Vivants, 1968, rĂ©alisation George A. Romero. CinĂ©-concert prĂ©sentĂ© dans le cadre des Nuits de l’Étrange. Profitez de l’offre dĂ©couverte le premier billet Ă  tarif normal vous donne accĂšs aux autres spectacles de cette Ă©dition Ă  12€ la place tarif jeune/solidaire 8€ Sorti en 1968, La Nuit des Morts-Vivants de George A. Romero avait enchantĂ© les cinĂ©philes. TournĂ© en noir et blanc, le scĂ©nario donnait le premier rĂŽle Ă  des zombies qui venaient, au clair de lune, agresser des habitants terrifiĂ©s. Certains ont vu dans ce chef-d’oeuvre du cinĂ©ma d’horreur une parabole de la guerre du Vietnam, d’autres une charge contre la sĂ©grĂ©gation, d’autres encore une critique du nuclĂ©aire. À ces multiples interprĂ©tations, FrĂ©dĂ©ric Fleischer et Joachim Latarjet apposent leur regard de musiciens contemporains. DĂ©laissant la bande-son originale, leur partition jouĂ©e en live rĂ©vĂšle l’étonnante poĂ©sie d’un film oĂč les mimiques, postures et contorsions des acteurs forment une fascinante chorĂ©graphie. Trombone, guitare, basse portĂ© par la musique, ce film mythique accĂšde Ă  la modernitĂ©. + gĂ©nĂ©rique MUSIQUE LIVE de et avec FrĂ©dĂ©ric Fleischer programmes, guitare, Joachim Latarjet trombone, guitare, basse, sur une idĂ©e de FrĂ©dĂ©ric Fleischer, rĂ©gie son Tom MĂ©nigault, photo © Gestuelle. Production dĂ©lĂ©guĂ©e, diffusion Le Monfort théùtre, Paris. Production Cie Oh ! Oui. FILM La Nuit des Morts-Vivants, 1968, rĂ©alisation George A. Romero.

LANUIT DES MORTS VIVANTS George A. Romero 1968 Saison 20-21 Pour les 50 ans du film La Nuit des Morts-Vivants de George A. Romero, Frédéric Fleischer et Joachim Latarjet ont re-composé la partition

Carte mentaleÉlargissez votre recherche dans UniversalisPremier film Ă  petit budget d'un rĂ©alisateur inconnu – George A. Romero alors ĂągĂ© de vingt-huit ans –, La Nuit des morts-vivants Night of the Living Dead acquiert lentement, et dans le monde entier, la rĂ©putation d'un sommet du film d'horreur, devenant un film-culte souvent citĂ© aux cĂŽtĂ©s des films les plus marquants de la dĂ©cennie, comme 2001 l'OdyssĂ©e de l'espace 1969 de Stanley Kubrick. Les aspects a priori nĂ©gatifs du film, tels que le caractĂšre brut et sommaire de la photographie, ou le physique quelconque des interprĂštes, ont au contraire rendu l'histoire plus crĂ©dible. Le rĂ©alisateur devait lui donner plusieurs suites, avec un budget plus important, dont Dawn of the Dead 1978, oĂč l'action se situe dans un centre commercial, et Le Jour des morts-vivants Day of the Dead, 1985, oĂč les zombies s'attaquent Ă  une base militaire. D'innombrables imitations, ainsi que des remakes plus officiels ont Ă©tĂ© tournĂ©s de ces diffĂ©rents films qui ont fait de leur rĂ©alisateur un 2 3 4 5 
pour nos abonnĂ©s, l’article se compose de 3 pagesAfficher les 2 mĂ©dias de l'articleÉcrit par Ă©crivain, compositeur, rĂ©alisateur, maĂźtre de confĂ©rences Ă©mĂ©rite Ă  l'universitĂ© de Paris-IIIClassificationArtsCinĂ©maGenres cinĂ©matographiquesCinĂ©ma fantastiqueArtsCinĂ©maCinĂ©matographies nationalesCinĂ©ma amĂ©ricainAutres rĂ©fĂ©rences LA NUIT DES MORTS-VIVANTS, George A. Romero » est Ă©galement traitĂ© dans FANTASTIQUEÉcrit par Roger CAILLOIS, Éric DUFOUR, Jean-Claude ROMER ‱ 21 082 mots ‱ 18 mĂ©dias Dans le chapitre Les annĂ©es 1970 le film d’horreur » [
] L’annĂ©e 1968 est marquĂ©e par l’affaibissement de la censure, avec l’adoption par la MPAA [Motion Picture Association of America] d’un systĂšme de cotes qui se substitue pratiquement au rĂ©gime de l’auto-censure et au Code de la production en vigueur depuis les annĂ©es 1930 » P. Rouyer, Le CinĂ©ma gore . En consĂ©quence, on voit apparaĂźtre un nouveau genre de cinĂ©ma fantastique, qu’on peut appeler [
] Lire la suiteROMERO GEORGE ANDREWS 1940-2017Écrit par RaphaĂ«l BASSAN ‱ 1 461 mots ‱ 2 mĂ©dias Dans le chapitre RĂ©inventer le film d’horreur » [
] En 1967, Romero souhaite passer au long-mĂ©trage de fiction. Il crĂ©e alors la sociĂ©tĂ© Image Ten et se lance dans l'aventure avec des collĂšgues et une importante figuration Ă  laquelle ont pris part des citoyens de Pittsburgh. Pour son opera prima , La Nuit des morts-vivants , le cinĂ©aste s'inspire du roman de Richard Matheson Je suis une lĂ©gende 1954 , du cinĂ©ma direct qu'il a dĂ©jĂ  mis en chanti [
] Lire la suiteVoir aussiCINÉMA FANTASTIQUERecevez les offres exclusives Universalis CINÉCONCERT : LA NUIT DES MORTS VIVANTS; Imprimer/Exporter cette page ; Exporter la page au format PDF; Envoyer cette page Ă  un ami; Partager cette page sur les rĂ©seaux sociaux . Facebook ; Twitter; LinkedIn; Le 31 oct. CinĂ©32 AllĂ©e des arts 32000 Auch. Ă  20:30 . Ajouter Ă  mon calendrier. OT Grand Auch: CINÉ CONCERT : LA NUIT Carte mentaleÉlargissez votre recherche dans UniversalisDes zombies terriblement humainsContrairement Ă  certains films d'horreur des annĂ©es 1980, le film de Romero ne fait jamais appel au second degrĂ© ni Ă  la connivence, au clin d'Ɠil. Le film se fait le reflet des peurs de son Ă©poque la guerre froide bien sĂ»r, mais aussi l'inquiĂ©tude de ce que l'homme va rapporter de son sĂ©jour sur la Lune, prĂ©vu en 1969 n'y aurait-il pas dans l'espace des substances dangereuses ?.Un drapeau amĂ©ricain plantĂ© Ă  l'entrĂ©e de la petite bourgade rurale oĂč dĂ©bute l'histoire suffit cependant Ă  suggĂ©rer que le film est une parabole, non du monde ou du rapport entre les nations, mais des États-Unis. Parabole politique et raciale notamment le Noir serait le seul personnage masculin positif du film, et c'est lui qui est abattu, non par des morts-vivants mais par d'autres hommes. L'interprĂ©tation est toutefois Ă  nuancer dans la maison se trouve un autre personnage de bonne volontĂ©, Tommy, qui est un Blanc, et ce n'est pas en tant que Noir que Ben est abattu Ă  la fin, seulement comme une forme qu'on voit vaguement bouger Ă  l'intĂ©rieur de la maison. D'ailleurs, aucun des autres personnages ne fait allusion Ă  sa couleur de revanche, ce que le film montre trĂšs bien, c'est la permanence d'une culture de la justice locale expĂ©ditive, Ă  en juger par la joie de la milice du comtĂ© Ă  effectuer son travail de ratissage » et d'extermination des morts-vivants, comme Ă  tirer de loin sur des formes humaines en mouvement. Le film s'achĂšve d'ailleurs par un bĂ»cher de cadavres qui Ă©veille d'horribles film s'attache Ă  un tout petit noyau de personnages, mais les informations Ă  la radio, puis sur le petit Ă©cran, lorsqu'un tĂ©lĂ©viseur est trouvĂ© dans la maison, Ă©largissent le phĂ©nomĂšne Ă  l'ensemble du pays. Curieusement, et de maniĂšre symbolique, aucune information n'est donnĂ©e quand Ă  l'effet des radiations dans d'autres pays. D'autre part, les personnages en scĂšne, sauf le jeune couple qui parle d'amour, sont entiĂšrement dans le concret et dans l'immĂ©diat, ce qui confĂšre Ă  l'histoire un caractĂšre d'urgence et de rĂ©alitĂ©, alors qu'il n'est plus temps de se poser des questions de Romero est un des premiers films Ă  oser la profanation » cinĂ©matographique de corps humains ordinaires, hagards, mal fagotĂ©s, corps que les personnages bons, Ă  commencer par Ben, doivent considĂ©rer comme de la viande morte ». L'acharnement muet des crĂ©atures est rendu paradoxalement plus effrayant par leur lenteur, leur maladresse et leur faible force physique, Ă  la diffĂ©rence, par exemple, de la momie dans La MalĂ©diction des pharaons Terence Fisher, 1959, et la pitiĂ© qu'elles inspirent redouble l'horreur, puisqu'il est aussi terrible de les voir ĂȘtre tuĂ©es que de les voir tuer. Les morceaux de bravoure les plus rĂ©pugnants – le repas des zombies, se nourrissant des entrailles et des membres d'un couple mort dans un camion – ont Ă©tĂ© bien sĂ»r dĂ©passĂ©s par de nombreux films ultĂ©rieurs, mais le film reste efficace sa force tient notamment dans sa construction trĂšs ferme. Une premiĂšre partie – presque la moitiĂ© du film – minimaliste, ne montrant qu'un Ben bavard et actif, et une Barbara catatonique et effondrĂ©e, qui ne dit presque rien ; puis une seconde partie mouvementĂ©e, oĂč interviennent d'autres personnages rĂ©fugiĂ©s dans la cave de la style cinĂ©matographique du film est trĂšs Ă©trange au dĂ©but, les partis pris esthĂ©tiques – noir et blanc dur avec des ombres portĂ©es trĂšs fortes, une profondeur de champ insistante, des cadrages penchĂ©s –, combinĂ©s Ă  une musique instrumentale puissante, Ă©voquent le cinĂ©ma fantastique des annĂ©es 1940-1950, quand la suggestion primait sur l'horreur visible. Puis, les situations de plus en plus sanglantes et le remplacement graduel de la musique instrumentale par des sons Ă©lectroniques nous transportent dans les annĂ©es postĂ©ritĂ© de La Nuit des mort-vivants a Ă©tĂ© gĂ©nĂ©reuse, sous la forme notamment de films Ă  trĂšs petits budgets qui ont visĂ© un public international, et utilisent aussi le postulat d'un petit nombre de personnages et d'un dĂ©cor rural isolĂ© Evil Dead, 1981, de Sam Raimi oĂč commence Ă  apparaĂźtre un esprit d'autoparodie, et plus rĂ©cemment, le Projet Blair Witch The Blair Witch Project, 1999, de Daniel Myrick et Eduardo Sanchez. Dans le monde entier, y compris en France, de jeunes cinĂ©astes ont tentĂ© eux aussi de conquĂ©rir le marchĂ© mondial par un petit film de ce type. Le film de [...]1 2 3 4 5 
pour nos abonnĂ©s, l’article se compose de 3 pagesAfficher les 2 mĂ©dias de l'articleÉcrit par Ă©crivain, compositeur, rĂ©alisateur, maĂźtre de confĂ©rences Ă©mĂ©rite Ă  l'universitĂ© de Paris-IIIClassificationArtsCinĂ©maGenres cinĂ©matographiquesCinĂ©ma fantastiqueArtsCinĂ©maCinĂ©matographies nationalesCinĂ©ma amĂ©ricainAutres rĂ©fĂ©rences LA NUIT DES MORTS-VIVANTS, George A. Romero » est Ă©galement traitĂ© dans FANTASTIQUEÉcrit par Roger CAILLOIS, Éric DUFOUR, Jean-Claude ROMER ‱ 21 082 mots ‱ 18 mĂ©dias Dans le chapitre Les annĂ©es 1970 le film d’horreur » [
] L’annĂ©e 1968 est marquĂ©e par l’affaibissement de la censure, avec l’adoption par la MPAA [Motion Picture Association of America] d’un systĂšme de cotes qui se substitue pratiquement au rĂ©gime de l’auto-censure et au Code de la production en vigueur depuis les annĂ©es 1930 » P. Rouyer, Le CinĂ©ma gore . En consĂ©quence, on voit apparaĂźtre un nouveau genre de cinĂ©ma fantastique, qu’on peut appeler [
] Lire la suiteROMERO GEORGE ANDREWS 1940-2017Écrit par RaphaĂ«l BASSAN ‱ 1 461 mots ‱ 2 mĂ©dias Dans le chapitre RĂ©inventer le film d’horreur » [
] En 1967, Romero souhaite passer au long-mĂ©trage de fiction. Il crĂ©e alors la sociĂ©tĂ© Image Ten et se lance dans l'aventure avec des collĂšgues et une importante figuration Ă  laquelle ont pris part des citoyens de Pittsburgh. Pour son opera prima , La Nuit des morts-vivants , le cinĂ©aste s'inspire du roman de Richard Matheson Je suis une lĂ©gende 1954 , du cinĂ©ma direct qu'il a dĂ©jĂ  mis en chanti [
] Lire la suiteVoir aussiCINÉMA FANTASTIQUERecevez les offres exclusives Universalis Tshirts homme et femme originaux sur le thĂšme Affiche De La Nuit Des Morts Vivants Designs d'artistes Plusieurs coupes Échanges gratuits Fabrication responsable Un film de George A. ROMERO Sortie en salles 23 octobre 2019Visa n°36760États-Unis - 1968 - Noir et blanc - 1,331 - 16 mm - son Mono - 96 minutes Interdit aux moins de 16 ans lors de sa sortie en France. LaNuit des Morts-Vivants – affiche Ce n’était au dĂ©part qu’une rumeur Ă  laquelle on pouvait accorder plus ou moins de crĂ©dit. Cependant, plusieurs sites spĂ©cialisĂ©s, dont Bloody Disgusting , Monster Kid Horror Classic ou encore Birth Movies Death l’ont confirmĂ©e voici quelques jours : George A. Romero aurait retrouvĂ© 9 minutes inĂ©dites de Notedesutilisateurs Si cela ne vous fait pas peur, c'est que vous ĂȘtes dĂ©jĂ  mort! Synopsis Chaque annĂ©e, Barbara et Johnny vont fleurir la tombe de leur pĂšre. La route est longue, les environs du cimetiĂšre dĂ©serts. Peu enclin Ă  prier, Johnny se souvient du temps oĂč il Ă©tait enfant et oĂč il s'amusait Ă  effrayer sa soeur en rĂ©pĂ©tant d'une voix grave "Ils arrivent pour te chercher, Barbara."La nuit tombe. Soudain, un homme Ă©trange apparaĂźt. Il s'approche de Barbara puis attaque Johnny, qui tombe et est laissĂ© pour mort. TerrorisĂ©e, Barbara s'enfuit et se rĂ©fugie dans une maison de campagne. Elle y trouve Ben, ainsi que d'autres fugitifs. La radio leur apprend alors la terrible nouvelle des morts s'attaquent aux vivants. George A. Romero Director, Screenplay John A. Russo Screenplay You need to be logged in to continue. Click here to login or here to sign up. GĂ©nĂ©ral s Mettre le curseur dans la barre de recherche p Ouvrir le menu du profil esc Fermer une fenĂȘtre ouverte ? Ouvrir la fenĂȘtre des raccourcis clavier Sur les pages des mĂ©dias b Retour ou vers le parent si faisable e Afficher la page de modification Sur les pages des saisons des Ă©missions tĂ©lĂ©visĂ©es → Afficher la saison suivante flĂšche droite ← Afficher la saison prĂ©cĂ©dente flĂšche gauche Sur les pages des Ă©pisodes des Ă©missions tĂ©lĂ©visĂ©es → Afficher l'Ă©pisode suivant flĂšche droite ← Afficher l'Ă©pisode prĂ©cĂ©dent flĂšche gauche Sur toutes les pages des images / photos a Ouvrir la fenĂȘtre d'ajout d'image / photo Sur toutes les pages de modifications t Ouvrir le sĂ©lecteur de traduction ctrl+ s Envoyer le formulaire Sur les pages des discussions n CrĂ©er une nouvelle discussion w Basculer le statut de suivi p Basculer publique / privĂ©e c Basculer fermer / ouvrir a Ouvrir l'activitĂ© r RĂ©pondre Ă  la discussion l Afficher la derniĂšre rĂ©ponse ctrl+ enter Envoyer votre message → Page suivante flĂšche droite ← Page prĂ©cĂ©dente flĂšche gauche LaNuit des fous vivants (The Crazies) est un film amĂ©ricain rĂ©alisĂ© par George A. Romero, sorti en 1973.. Synopsis. The Crazies est l'histoire d'un produit chimique nommĂ© Trixie, dĂ©versĂ© dans une riviĂšre aprĂšs le crash de l'avion militaire qui le transportait. Une ville alimentĂ©e en eau par cette riviĂšre, du nom de Evans City, va voir ses habitants
L'histoire Dans un petit village français, Ă  la fin de la guerre, des rĂ©sistants liquident une patrouille allemande et jettent les corps dans le lac voisin enfin, disons plutĂŽt une grosse mare. Manque de bol, ce lac avait Ă©tĂ© le lieu de rites sataniques au Moyen-Âge et dix ans aprĂšs la guerre, les soldats devenus morts-vivants se rĂ©veillent pour aller dĂ©vorer des baigneuses qui ont la mauvaise idĂ©e d’aller nager nues dans l’étang. Comme Ă  force plus personne ne vient se baigner dans le lac, les zombies envahissent le village pour aller faire leur a retrouvĂ© la 7Ăšme chĂątelain local mĂšne l’enquĂȘte Howard Vernon, vĂ©ritable acteur de la trempe d’un Price ou d’un Cushing qui a sciemment sabordĂ© sa carriĂšre dans les plus affligeantes productions de l’Histoire. Les villageois ont peur et sortent les fusils de chasse en cherchant un coupable comme leurs ancĂȘtres auraient sorti les fourches et les torches. La police envoie deux flics dont Jean Rollin, vif et trĂ©pidant comme une aprĂšs-midi Ă  mater Derrick dans une maison de retraite qui s’approchent du lac et se font bouffer tiens Jean, ça t’apprendra Ă  tourner n’importe quoi !. Howard Vernon."Le poids des morts, le choc des photos."Pour donner une touche tragique au milieu du gore pauvret et des filles Ă  poil, un des Allemands Ă©tait tombĂ© amoureux d’une villageoise. Laquelle est morte en accouchant d’une fille qui a dĂ©sormais dix ans jouĂ©e par Anouchka Lesoeur, la petite fille du producteur. Le zombie vient donc rĂ©guliĂšrement rendre visite Ă  la gamine et la protĂšge de ses copains morts-vivants... La petite orpheline et le zombie, deux ĂȘtres profondĂ©ment incompris qui cherchent leur place dans la sociĂ©tĂ© qui les rejette... Mouais, en fait tout cela se terminera au lance-flammes. Anouchka maquillage appliquĂ© bien autour des yeux, des cheveux et du lance-flamme en question qui est, Ă  ne pas douter, Ă  l'image du film.Ce film traĂźne la rĂ©putation d’ĂȘtre le plus mauvais film français de tous les temps. Il est vrai que sa production a Ă©tĂ© Ă©maillĂ©e d’incidents qui renvoient aux conditions de tournage d’Ed Wood Le film aurait Ă©tĂ© commencĂ© par Jesus Franco d’oĂč la prĂ©sence de son acteur fĂ©tiche, l’inquiĂ©tant Howard Vernon qui deux jours aprĂšs le dĂ©but de tournage se serait fĂąchĂ© avec le producteur-scĂ©nariste Marius Lesoeur. Celui-ci, en effet, réécrit continuellement le script pour le tirer vers l’économie. Franco, pourtant habituĂ© Ă  tourner des films dans une cave pour une poignĂ©e de cacahouĂštes, claque la porte et est remplacĂ© par un autre vĂ©tĂ©ran du micro-budget, Jean Rollin, qui interrompt ses vacances et vient colmater les brĂšches. Il avouera par la suite qu’il ne savait mĂȘme pas ce qu’il tournait vu que Lesoeur réécrivait son scĂ©nar au jour le jour. Sur place, le tournage vire au cauchemar le fond de teint vert qui tient lieu de maquillage pour les zombies n’est pas waterproof et dĂ©gouline dans le cou des victimes, les effets sanglants se rĂ©sument Ă  un seau rempli d’eau colorĂ©e, et la camĂ©ra se dĂ©traque et ne tourne pas Ă  la bonne vitesse, d’oĂč la nĂ©cessitĂ© de faire jouer les acteurs plus lentement que prĂ©vu pour compenser."Pas mal, hein ? C'est Français."Les scĂšnes sous-lacustres sont tournĂ©es aprĂšs coup dans une piscine garnie de nĂ©nuphars dont on voit les bords !!! d’oĂč des problĂšmes de raccords avec celles filmĂ©es en extĂ©rieur les victimes barbotent dans cinquante centimĂštres d’eau puis dĂšs qu’on passe sous l’eau les zombies dont le maquillage n’est plus tout Ă  fait le mĂȘme que dans les scĂšnes Ă  l’air libre attaquent par deux mĂštres de fond quand il n’y en a pas un qui, dans le fond, remonte prĂ©cipitamment par manque d’air.Le film a Ă©tĂ© tournĂ© en 2 versions selon le niveau de censure du pays visĂ© Ă  l'export, une habillĂ©e et une oĂč les filles se baignent Nuit des le mĂȘme style, Rollin ne disposant que de huit uniformes Ă  ne pas regarder de trop prĂšs et un camion pour refaire la Seconde Guerre Mondiale, utilise des stocks-shots d’un film de guerre pour Ă©toffer ses scĂšnes de flash-back censĂ©es nous expliquer l’origine des zombies nazis. Manque de bol, toutes ces scĂšnes volĂ©es sont sous la neige, alors qu’il a tournĂ© les siennes en Ă©tĂ© par grand beau temps ! De mĂȘme je recommande le moment oĂč les Nazis sont attaquĂ©s par un avion qui se rĂ©sume Ă  un bruit de moteur. Les Allemands font alors semblant de tirer en l’air en courant dans tous sens et en prenant des airs affolĂ©s. Effarant !Les villageois se rebiffent
Toujours plus fort, l’action principale du film se situe dans les annĂ©es 50, ce qui n’empĂȘche pas les figurants d’arborer des cheveux longs et des pantalons pattes d’éph’ ou encore de rouler dans des fourgonnettes Renault des annĂ©es 70. Figurants d’ailleurs visiblement recrutĂ©s sur place et dont l’amateurisme est assez phĂ©nomĂ©nal. Allez viendez les filles... !!Bref Le Lac des Morts-Vivants » est un film incroyable, mais qui est l’archĂ©type des productions EurocinĂ©, sociĂ©tĂ© française responsable des films d’exploitation les plus terriblement fauchĂ©s de l’histoire, dont Les Amazones du temple d’or » avec sa jungle reconstituĂ©e dans le bois de Vincennes, Terreur Cannibale » oĂč des Espagnols maquillĂ©s au brou de noix mastiquent des bouts de bidoche en rigolant comme des bossus, Lorna, la Lionne du DĂ©sert » oĂč Richard Harrison et Gordon Mitchell Ă©changent les pires jeux de mots tout en faisant le coup de poing contre des Ă©tudiants avec des torchons sur la tĂȘte censĂ©s jouer les dangereux fanatiques arabes... Bref un pan entier de l’exception culturelle française curieusement passĂ© sous silence par les encyclopĂ©dies du cinĂ©ma. Une vĂ©ritable injustice ! "The Most Terrifying Zombie Massacre Ever To Come To The Screen !" And It's French !Quand Ă  Jesus Franco, je vous rassure, il n’est pas restĂ© fĂąchĂ© trĂšs longtemps avec EurocinĂ© puisque peu de temps aprĂšs il tournait pour eux l’encore plus fauchĂ© et grotesque L’AbĂźme des Morts-Vivants » oĂč cette fois-ci des zombies nazis hantent une oasis en dĂ©vorant les touristes tout en protĂ©geant le trĂ©sor de guerre de Rommel...Bonus les extraits d'une interview de Jean Rollin publiĂ©e sur le web dans laquelle il s'Ă©tend sur sa collaboration avec Jess Franco et sur ses relations avec la compagnie EurocinĂ© Jess Franco Ă©tait supposĂ© faire "Le Lac des zombies" pour EurocinĂ© mais le jour prĂ©cĂ©dant le tournage, il a disparu. Plus de traces de lui nulle part. J'Ă©tais sur le point de partir en vacances quand mon tĂ©lĂ©phone a sonnĂ©. C'Ă©tait la production d'EurocinĂ© qui m'a demandĂ© si cela me disait de rĂ©aliser un film pour eux. J'ai dit "Pourquoi pas ? Quand auriez-vous besoin de moi ?" Ils me rĂ©pondent "Vous commencez demain !" » Je n'avais pas lu le script, je savais simplement qu'il s'agissait d'un film de zombies et le producteur m'expliquait chaque matin ce que j'Ă©tais censĂ© tourner dans la journĂ©e. Je n'ai jamais considĂ©rĂ© ceci comme un projet sĂ©rieux. Tout comme l'acteur principal Howard Vernon, avec qui je me suis beaucoup amusĂ©. » EurocinĂ© Ă©tait une compagnie Ă©trange. Ils Ă©taient rĂ©ellement convaincus que des films comme "Le lac des zombies" Ă©taient de trĂšs bons films d'horreur ! Ils vivaient sur une autre planĂšte ! C'Ă©tait tellement Ă©trange que cela devenait merveilleux. » J'ai fait quelques autres trucs pour eux. Des scĂšnes de zombies qui - Ă  ce que j'en sais - ont Ă©tĂ© incorporĂ©es dans un autre film de Jess Franco, "Christina chez les morts-vivants", puis un film court intitulĂ© "Chasing Barbara" que j'ai fait Ă  Madrid dans le jardin de l'hĂŽtel oĂč j'Ă©tais descendu ! Bien sĂ»r, le jardin Ă©tait supposĂ© reprĂ©senter une jungle ! "Tu vois ces pots de fleurs ? Tournons un film d'aventures ici !" » Le seul point commun qu'il puisse y avoir entre Jess Franco et moi, c'est notre marginalitĂ©. Nous travaillons tous les deux sur de petits budgets. Je n'ose porter une apprĂ©ciation gĂ©nĂ©rale sur JĂ©sus Franco. J'ai vu "L'Horrible Dr. Orloff " qui m'a paru trĂšs bien, puis aprĂšs des films Ă©rotiques, du genre "CĂ©lestine bonne Ă  tout faire", etc. Je n'ai pas trouvĂ© de point commun avec mon travail. En plus chaque plan commence par un zoom et se termine par un zoom. Au bout d'un moment j'attrape mal Ă  la tĂȘte. »
Lanuit des morts-vivants. Interdit aux moins de 16 ans Chaque annĂ©e, Barbara et Johnny vont fleurir la tombe de leur pĂšre. La route est longue, les environs du cimetiĂšre dĂ©serts. Peu enclin Ă  prier, Johnny se souvient du temps oĂč il Ă©tait enfant et oĂč il s'amusait Ă  effrayer sa soeur en rĂ©pĂ©tant d'une voix grave : "Ils arrivent pour te chercher, Mon compte Login Register Search Login Register AccueilCinĂ©maPublicitĂ©Documents Search Accueil / CinĂ©ma / Affiches / Affiche – NUIT DES MORTS VIVANTS la – Ressortie 40x55cm CatĂ©gorie AffichesAffiche – NUIT DES MORTS VIVANTS la – Ressortie 40x55cmId Stock 7024335,00€Rupture de stock DescriptionTitre original NIGHT OF THE LIVING DEAD the Id stock 70243InformationsAnnĂ©e 1969NationalitĂ© film Duane JONES, Judith O'DEA, Judith RIDLEY, Karl HARDMAN, Keith WAYNE, Russell STREINERFormat Ressortie 40x55cmCrĂ©ateur PHILIPPENationalitĂ© Produit françaiseEtat FR Affiche originale pliĂ©e en trĂšs bon Ă©tatThemes HORREUR MenuAccueilCinĂ©maPublicitĂ©Documents yPUXo.
  • 38xz86ynsb.pages.dev/120
  • 38xz86ynsb.pages.dev/956
  • 38xz86ynsb.pages.dev/4
  • 38xz86ynsb.pages.dev/287
  • 38xz86ynsb.pages.dev/57
  • 38xz86ynsb.pages.dev/684
  • 38xz86ynsb.pages.dev/840
  • 38xz86ynsb.pages.dev/81
  • 38xz86ynsb.pages.dev/999
  • 38xz86ynsb.pages.dev/38
  • 38xz86ynsb.pages.dev/914
  • 38xz86ynsb.pages.dev/857
  • 38xz86ynsb.pages.dev/672
  • 38xz86ynsb.pages.dev/661
  • 38xz86ynsb.pages.dev/516
  • affiche la nuit des morts vivants