IllustrationĂ  propos Dirigez la carte de l'Espagne avec des cadres pour des rĂ©gions et des provinces, les Îles Canaries et des Îles BalĂ©ares. Illustration du province, espagnol, cadres - Un voyage insolite avec une carte espagne costa les pieds dans l’eau pour des vacances pas trop chĂšres ou un sĂ©jour sur la cĂŽte cliquez sur l’image pour agrandir carte de la cĂŽte en Espagne Carte gĂ©ographique de la cĂŽte espagnole + Cartes - Plans - Images Espagne Costa Carte espagne plan de la costa dorada en Catalogne ! Image et Photos Carte de la Costa Dorada Cliquer sur un image pour zoomer sur les cartes d’espagne Costa et voir le plan dĂ©taillĂ©e des cĂŽtes espagnoles les plus touristiques et les plus visitĂ©es en vacances ou en simple week end Costa de Valencia, Brava, Calida, Almeria, del sol 
.GĂ©ographie gĂ©nĂ©rale ou carte d’espagne costa Sud ou Est, dĂ©couvrez toutes les plages de la pĂ©ninsule ibĂ©rique jusquĂ  la Costa de Galicia ! Photo de la cĂŽte espagnole SĂ©jour en Espagne – Costa En Espagnol Costa, en Français CĂŽte » partez en vacances dans la rĂ©gion est et sud de l’Espagne sur la Costa del Sol, De Valencia, Calida, de la luz ou tropical en vous aidant d’une carte d’espagne costa plus complĂšte ou dĂ©taillĂ©e avec les villes principales et les provinces espagnoles. Costa de Barcelona ou Alicante toutes les merveilles de l’ESpagne et ses sites touristiques trĂšs visitĂ©s Plan et carte gĂ©nĂ©rale de la Costa d’Espagne de Alicante Ă  Torrevieja ou San Juan – Que faire dans les rĂ©gions de la Costa espagnole pour un Week end ? ESPAGNE – Carte Un projet de voyage ou un petit sĂ©jour Agrandir la carte ou l’image de la costa espagne carte costa blanca – mĂ©diterranĂ©e espagnole – MAP Image - Cartes - Photos carte costa brava - costa brava carte - costa brava espagne - carte espagne costa brava - cote espagnole - espagne costa brava - costa dorada carte - carte espagne costa - carte de la costa brava - costa brava - ï»żPrĂ©sentationproduit : Provinces d'Espagne. Haut de page . RĂ©f: 09563737. Pour apprendre la carte de l'Espagne, avec ses communautĂ©s autonomes et est une piĂšce sĂ©parĂ©e. Donc, l'apprentissage est plus facile et peut Ă©galement ĂȘtre utilisĂ© sĂ©parĂ©ment pour dessiner vos perfil.se sont les noms des communautĂ©s et ​La ville de Saragosse est connue pour sa grande beautĂ© et attire tous les ans de nombreux visiteurs qui tombent sous son charme. Nous vous proposons aujourd’hui de vous Ă©loigner de la ville et de dĂ©couvrir cinq des plus beaux villages de la province espagnole qui possĂšde un patrimoine historique parmi les plus importants. ​Pour dĂ©couvrir ces lieux incroyables, lisez cet article puis rĂ©servez vos billets Renfe-SNCF en CoopĂ©ration pour vous y rendre de la meilleure maniĂšre qui soit assis confortablement avec vos amis ou en famille, en admirant les paysages qui dĂ©filent sous vos Photographies de DarocaLe village de Daroca est un lieu tout Ă  fait impressionnant dont les quatre kilomĂštres de murailles et de tours semblent sortir de la roche qui surplombe la plaine et les maisons plus rĂ©centes. L’ancien chĂąteau et ses murailles, placĂ©s au bord de la roche, au bord du vide, possĂšdent des restes de la culture et architecture musulmane du XVIĂšme siĂšcle. Deux de ses entrĂ©es la Porte Haute et la Porte Basse, furent construites en 1700 et permettent de pĂ©nĂ©trer dans le village qui vous transportera des siĂšcles en arriĂšre. Ne manquez pas de visiter les temples de San Juan et de Santo Domingo. Si vous montez jusqu’à la colline de San Cristobal, vous pourrez admirer la magnifique vue panoramique sur tout le village dont les styles mudĂ©jar, roman et baroque se mĂȘlent magnifiquement. ​Un Castillo Commencez par la visite du donjon du XIĂšme siĂšcle, puis dĂ©couvrez le palais gothique de Pierre IV dont l’architecture est unique en Espagne. Les Ă©glises du village valent Ă©galement la peine d’ĂȘtre visitĂ©es. Plusieurs ont Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©es Biens d’IntĂ©rĂȘt Culturel. Enfin, dĂ©couvrez le site romain de Los Bañales pour un vĂ©ritable voyage au travers des siĂšcles ! Belchite Viejo Belchite prĂ©servĂ© dans le tempsLe village de Belchite se divise en deux parties bien distinctes la partie moderne oĂč vit la population et la partie historique, tĂ©moin de l’une des plus importantes batailles de la Guerre Civile Espagnole en 1937. Dans ce village, 3000 rĂ©publicains ont dĂ©fendu leurs convictions et 5000 soldats des deux camps ont perdu la vie. L’entrĂ©e dans le village est de 6 € mais une fois lĂ , vous pourrez dĂ©ambuler dans les rues de Belchite et vous laisser transporter tant par sa beautĂ© passĂ©e que par les consĂ©quences de la guerre civile. Il est en effet possible d’y ressentir toute la violence de la guerre, notamment dans sa cathĂ©drale. Une visite impactante. En redescendant, le nouveau village, accueillant et plein de vie est le lieu parfait pour prendre un verre ou se restaurer. Gallur De magnifiques constructions comme l’Église de San Pedro, qui date du XVIIIĂšme siĂšcle, ou encore la maison du GĂ©nĂ©ral Ortega Ă  la façade Renaissance vous attendent dans ce magnifique petit village. Le mieux est de vous perdre dans ses rues, de passer devant l’ancienne gare de trains de Las Cinco Villas, d’admirer le Pont des Arcades au dessus de l’Èbre et d’en admirer les recoins tous aussi charmants les uns que les autres. Sos del Rey CatĂłlicoPhotos panoramiques de Sos del Rey CatĂłlicoSos del Rey CatĂłlico, au nom trĂšs particulier, est un village dont le chĂąteau qui date du XĂšme siĂšcle fut construit pour rĂ©sister Ă  l’invasion musulmane. Naturellement bien situĂ© pour rĂ©sister aux attaques, ses murailles encerclent toujours la ville et surplombent toute la vallĂ©e. Il s’agit d’un lieu historique tout particulier puisque le roi Fernando le Catholique y a vu le jour en 1452. Se promener dans les rues pavĂ©es du village aux maisons en pierre est un vĂ©ritable plaisir dont vous profiterez lors de votre avez beaucoup marchĂ© lors de vos visites et rĂȘvez d’un voyage reposant pour rentrer chez vous ? Nos trains Ă  Grande Vitesse Renfe-SNCF en CoopĂ©ration offrent confort et dĂ©tente pour que les vacances se prolongent le plus longtemps possible. Participer Ă  la conversation 17/06/2018 153536TrĂšs belle rĂ©gion que nous avons dĂ©couverte au mois de mai ! Laisser un commentaire Adresse mail * Nom d'utilisateur * Commentaire J'ai lu et j'accepte la Politique de confidentialitĂ©
Leconflit avec le roi d'Espagne de 1568 à 1581 Principales étapes de la révolte : Carte diachronique de l'empire colonial des Provinces-Unies. Pendant la guerre de Quatre-Vingts Ans, les Provinces-Unies ont construit une marine de guerre qui pouvait menacer l'Espagne dans ses propres ports et jusqu'en Amérique. La flotte marchande de la Compagnie néerlandaise des
La Galice est une communautĂ© autonome situĂ©e dans le nord-ouest de l’Espagne. La Galice est entourĂ©e par les Asturies, Castille et LeĂłn, le Portugal et l’ocĂ©an Atlantique. La Galice recouvre une superficie de 29 574 kmÂČ et comptait 2 737 370 habitants en 2003. La Galice se compose de 4 provinces La Corogne, Lugo, Orense et Pontevedra. Saint-Jacques-de-Compostelle est la capitale de la communautĂ© autonome. Les deux langues officielles de la Galice sont le castillan et le galicien. Les 10 lieux incontournables Ă  visiter en GaliceLes villes de la GaliceVisiter LugoGĂ©ographie de la GaliceVidĂ©o – La Galice vue du ciel !La culture en GaliceGaliciens cĂ©lĂšbresHommes politiques de GalicePolitique en GaliceHistoire de la Galice Les 10 lieux incontournables Ă  visiter en Galice La Galice, c’est l’eau, la terre, le vent
 La Galice, c’est le sentiment, la passion, la joie
 La Galice, c’est l’art, l’histoire, la lĂ©gende
 C’est tout ce qui fait rĂȘver et Ă©merveiller
 La Galice est une terre que vous commencerez Ă  dĂ©couvrir petit Ă  petit, pas Ă  pas
 Voici 10 lieux Ă  ne pas manquer, sans ordre particulier Ribeira Sacra La Ribeira Sacra, qui abrite la plus grande concentration d’églises et de monastĂšres romans en Europe. La Ribeira Sacra est un district marquĂ© par le Miño et le Sil, qui ont façonnĂ© son paysage spectaculaire en se frayant un chemin Ă  travers les montagnes. Si l’on ajoute Ă  cela la foi et la spiritualitĂ© que l’on peut encore ressentir dans les nombreux monastĂšres qui parsĂšment la rĂ©gion, cela signifie que ce coin de Galice ne peut manquer de faire appel Ă  tous vos sens. Mentionner la Ribeira Sacra, c’est bien sĂ»r mentionner le vin, ce qui devient Ă©vident dĂšs que l’on met les pieds dans la rĂ©gion l’un des Ă©lĂ©ments les plus caractĂ©ristiques de son paysage sont les fameuses socalcos », ces vignobles en terrasses abruptes qui descendent le long des collines. Et pendant que vous y ĂȘtes, ne manquez pas l’occasion de goĂ»ter certains des fantastiques vins locaux, produits par l’une des cinq zones viticoles d’appellation d’origine de Galice, Ă  laquelle la rĂ©gion donne son nom. La ville de Lugo Les murs de Lugo sont l’exemple le mieux prĂ©servĂ© des fortifications militaires romaines dans le monde. ClassĂ©s au patrimoine mondial de l’UNESCO, les remparts sont un exemple exceptionnel d’un mode de construction qui illustre diverses pĂ©riodes importantes de l’histoire de l’humanitĂ©. Depuis leurs origines romaines, en passant par la pĂ©riode tumultueuse du Moyen Âge et jusqu’au XIXe siĂšcle, rĂ©volutionnaire et novateur, ils constituent un monument unique qui montre les diffĂ©rentes facettes de l’évolution de la ville de Lugo, elle-mĂȘme une zone de conservation d’importance majeure, depuis le premier Ă©tablissement romain du Lucus Augusti. Serra da Capelada La Serra da Capelada possĂšde certaines des plus hautes falaises d’ point culminant est VixĂ­a Herbeira, Ă  620 mĂštres au-dessus du niveau de la mer. De ce point de vue, vous pouvez apprĂ©cier toute la grandeur et la taille de ces falaises, les deuxiĂšmes en hauteur aprĂšs les fjords norvĂ©giens, qui plongent presque verticalement vers la mer, Ă  un angle de plus de 80Âș. Les vues d’ici sont absolument spectaculaires un panorama magnifique sur le puissant ocĂ©an Atlantique et le littoral accidentĂ© de chaque cĂŽtĂ© de Santo AndrĂ© sont sans aucun doute parmi les meilleurs que l’on puisse trouver sur toute la cĂŽte europĂ©enne. Ferrol Bien que Ferrol ait Ă©tĂ© Ă  l’origine une ville avec une forte tradition de pĂȘche, au cours du 16Ăšme siĂšcle, son port a commencĂ© Ă  accueillir les navires de la marine royale espagnole. Par la suite, les monarques Philippe V, Ferdinand VI et Charles III ont Ă©tĂ© le moteur de la construction de ce magnifique complexe, faisant de la ville la principale base militaire du nord-ouest de l’Espagne et la plus grande base navale de son Ă©poque en Europe. À l’intĂ©rieur, qui ne peut ĂȘtre visitĂ© qu’avec une autorisation prĂ©alable, vous trouverez la Sala de Armas manĂšge militaire, jusqu’à rĂ©cemment une caserne d’entraĂźnement et maintenant des quartiers rĂ©sidentiels pour les marines de la marine espagnole dĂ©ployĂ©s Ă  Ferrol. Vous pouvez Ă©galement visiter le Museo Naval MusĂ©e de la construction navale et le Dique da CampĂĄ, l’une des plus grandes cales sĂšches du monde. Et n’oubliez pas Exponav, une exposition permanente consacrĂ©e au monde de la construction navale. La Tour d’Hercule À La Corogne, nous pouvons nous Ă©merveiller devant la Tour d’Hercule, qui remonte Ă  l’époque romaine et qui est le plus ancien phare en activitĂ© au monde, raison pour laquelle il a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© patrimoine mondial de l’UNESCO. Le Farum Brigantium a Ă©tĂ© construit par l’Empire romain Ă  un moment donnĂ© entre la fin du 1er siĂšcle aprĂšs et le dĂ©but du suivant. SituĂ© Ă  l’entrĂ©e du port de La Corogne, ce magnifique phare a Ă©tĂ© conçu comme une aide Ă  la navigation le long de la cĂŽte accidentĂ©e de Galice, un point stratĂ©gique sur la route maritime reliant la MĂ©diterranĂ©e au nord-est de l’Europe. Le Cap Finisterre Le Cap Finisterre, destination des pĂšlerins qui, aprĂšs avoir visitĂ© le tombeau de Saint-Jacques, ont continuĂ© leur chemin sur la route qui leur a Ă©tĂ© tracĂ©e au-dessus de la Voie lactĂ©e jusqu’à ce qu’ils ne puissent plus aller plus loin. Le Finisterre Ă©tait considĂ©rĂ© pendant la pĂ©riode de l’AntiquitĂ© classique comme la fin du monde connu. En fait, sa situation gĂ©ographique et ses couchers de soleil impressionnants ont conduit Decimus Junius Brutus le gĂ©nĂ©ral romain qui a conquis la Galice Ă  croire que c’était bien l’endroit oĂč le soleil mourait au crĂ©puscule. La rĂ©gion entourant ce promontoire est considĂ©rĂ©e comme un lieu magique depuis les temps les plus anciens, et la lĂ©gende veut que les PhĂ©niciens aient installĂ© un autel, l’Ara Solis, oĂč ils vĂ©nĂ©raient le soleil. Alors pourquoi ne pas prendre le temps de dĂ©couvrir ce coin de notre cĂŽte, oĂč la magie des lieux guidera vos pas. Le Chemin de Saint Jacques Vous ne pouvez pas quitter la Galice sans avoir parcouru au moins une partie du Chemin de Saint-Jacques. Le Chemin de Saint-Jacques a jouĂ© un rĂŽle fondamental dans l’échange de cultures entre la pĂ©ninsule ibĂ©rique et le reste de l’Europe au Moyen-Âge. C’est pourquoi le chemin de Saint-Jacques a Ă©tĂ© dĂ©signĂ© comme le premier itinĂ©raire culturel europĂ©en par le Conseil de l’Europe. Le Chemin dit français, qui a la plus longue tradition et est le plus connu en dehors de l’Espagne, a Ă©galement Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© patrimoine mondial de l’UNESCO. Partant de Roncevaux Navarre, il atteint finalement Saint-Jacques-de-Compostelle quelque 750 kilomĂštres plus tard. Un itinĂ©raire qui relie l’Europe au nord de l’Espagne, en passant par des Ă©glises, des ponts, des cathĂ©drales, des monastĂšres et d’autres lieux d’intĂ©rĂȘt isolĂ©s, le tout accompagnĂ© d’une toile de fond de verdure permanente. La ville de Saint-Jacques de Compostelle Saint-Jacques de Compostelle Photo bernavazqueze Saint-Jacques-de-Compostelle est la destination des pĂšlerins chrĂ©tiens depuis le IXe siĂšcle. D’aussi loin que la Baltique ou la mer du Nord, des milliers de pĂšlerins sont venus Ă  pied au sanctuaire de Saint-Jacques en Galice, portant leurs coquilles Saint-Jacques symboliques sur tous les chemins qui mĂšnent Ă  Saint-Jacques, vĂ©ritables sentiers de la foi. Il faut ajouter Ă  cela le fait qu’à l’époque romane et baroque, le sanctuaire de Saint-Jacques de Compostelle a eu une influence dĂ©cisive sur l’évolution de l’architecture non seulement en Galice, mais aussi dans tout le nord de la pĂ©ninsule ibĂ©rique. Santa Tegra A Guarda se trouve le fort celtique et le village de Santa Tegra, d’oĂč vous pourrez profiter de la meilleure vue panoramique d’un fort celtique dans deux pays ». Naturellement, les vues d’ici sont inĂ©galĂ©es votre horizon n’est dĂ©limitĂ© que par la Galice, avec le village de pĂȘcheurs d’A Guarda Ă  sa tĂȘte, le puissant ocĂ©an Atlantique et le littoral portugais voisin. La vue est encore plus impressionnante si l’on remonte dans le temps les habitants de ce fort et de ce village de colline pouvaient en profiter depuis leurs propres habitations. Cependant, le site de ce village n’a pas Ă©tĂ© choisi pour ses vues, mais pour des raisons plus terre-Ă -terre telles que la stratĂ©gie et la sĂ©curitĂ©, car d’ici, ils pouvaient surveiller et contrĂŽler le trafic maritime et toute l’embouchure du fleuve Miño. Les Ăźles CĂ­es Les Ăźles CĂ­es, un des archipels qui, avec les Ăźles de Ons, SĂĄlvora et Cortegada, constituent le parc national maritime et terrestre des Ăźles atlantiques galiciennes. La richesse de leur faune et de leur flore, combinĂ©e Ă  des paysages spectaculaires, font de ces Ăźles un atout culturel et environnemental majeur et prĂ©cieux. Les Ăźles CĂ­es, c’est la nature Ă  l’état pur. Le voyage en bateau au dĂ©part de Vigo, Cangas ou Baiona Baiona, qui ont toutes des liaisons rĂ©guliĂšres en catamaran vers l’archipel en haute saison, nous permet d’admirer leur imposante prĂ©sence Ă  l’embouchure de la RĂ­a de Vigo. Les villes de la Galice La Galice se caractĂ©rise, Ă  la diffĂ©rence d’autres rĂ©gions espagnoles, par l’absence d’une mĂ©tropole dominant le territoire. En effet, l’armature urbaine est constituĂ©e de plusieurs villes moyennes qui maillent la rĂ©gion Vigo 300 000 habitantsLa Corogne 250 000 habitantsOurense Orense 110 000 habitantsSaint-Jacques de Compostelle 90 000 habitantsLugo 90 000 habitantsFerrol 80 000 habitantsPontevedra 80 000 habitantsVilagarcĂ­a de Arousa 35 000 habitantsNarĂłn 35 000 habitantsRedondela 30 000 habitantsMonforte de Lemos 12 000 habitants Visiter Lugo Lugo, la cathĂ©drale Photo martin_penas Lugo est l’une des villes les plus visitĂ©es et intĂ©ressantes du territoire de la Galice, au nord-ouest de l’Espagne. Le grand nombre de vestiges culturels datant du Moyen Age explique que l’on retrouve en Galice beaucoup de voyageurs amoureux d’histoire et d’art. D’autres voyageurs apprĂ©cient particuliĂšrement la Galice pour la possibilitĂ© d’y faire du golf et de la randonnĂ©e. Les monuments de Galice sont Ă©galement intĂ©ressants comme par exemple la muraille romaine dĂ©clarĂ©e au Patrimoine de l’HumanitĂ© de l’UNESCO ou la cathĂ©drale romane, l’un des lieux les plus visitĂ©s de la rĂ©gion. A visiter aussi Ă  Lugo le quartier O Carme, le musĂ©e provincial beaucoup s’y rendent pour dĂ©couvrir l’histoire et l’art de la rĂ©gion, la mairie, le parc de Rosalia de Castro et le sanctuaire de Santa Eulalia de BĂłveda avec ses peintures murales et son architecture. Campings Ă  Lugo et autour CAMPING A FONSAGRADACtra. de Pobra de BurĂłn, A FONSAGRADA – LUGO EspagneCAMPING A Playa de Benquerencia27792 BARREIROS – LUGO EspagneCAMPING NOSA CASA REINANTEPlaya de Reinante27790 BARREIROS – LUGO EspagneCAMPING BENQUERENCIA27792 BENQUERENCIA – LUGO EspagneCAMPING RAPADOIRA LLASPÂș Martimo, s/n27780 FOZ – LUGO EspagneCAMPING SAN RAFAELJunto a la playa de Peizas27780 FOZ – LUGO EspagneCAMPING EL GUITIRIZ – LUGO EspagneCAMPING MUNICIPAL DE MONTERROSOComplexo TurĂ­stico de A Peneda27560 MONTERROSO – LUGO EspagneCAMPING OS en Becerrea direcciĂłn Os Ancares27665 MOSTEIRO – LUGO EspagneCAMPING RIBADEOCtra Ribadeo – Coruña, km 227797 RIBADEO – LUGO EspagneCAMPING VIVEIROJunto a la playa de Covas27837 VIVEIRO – LUGO Espagne GĂ©ographie de la Galice La Galice couvre une superficie de 29 574 kmÂČ presque la comme la Belgique et possĂšde 1300 km de cĂŽtes. À l’époque romaine la Galice disposait d’importantes ressources d’or, d’argent et d’étain. La Galice est une zone gĂ©ographique limitĂ©e au nord et Ă  l’ouest par l’ocĂ©an Atlantique, Ă  l’est par une chaĂźne montagneuse Os Ancares et au sud par le fleuve le plus important de la pĂ©ninsule ibĂ©rique par son dĂ©bit O Miño. La rĂ©gion est divisĂ©e en 4 provinces, 53 comarcas cantons, 316 concellos communes, 3847 paroisses et 31 855 noyaux de population » la moitiĂ© de toute l’Espagne qui en compte 63 613 ou aldeas » hameaux. Mais la paroisse est pour le galicien, la rĂ©fĂ©rence absolue. Il est commun, si vous demandez Ă  un Galicien d’oĂč il vient, qu’il vous rĂ©ponde par le nom de sa paroisse. L’origine de ces paroisses est due aux SuĂšves, peuple germanique qui fonda un des premiers royaumes chrĂ©tiens d’Europe vers 410. Un document de l’an 569 atteste de cette organisation admistrative, le Parochiale Suevorum ». VidĂ©o – La Galice vue du ciel ! La culture en Galice La Galice est connue pour le pĂšlerinage de Saint-Jacques de Compostelle. On assiste aussi depuis quelques annĂ©es Ă  un retour de la musique traditionnelle galicienne et notamment de la Gaita, la cornemuse locale. Une trĂšs grande influence celtique est prĂ©sente dans la culture galicienne, qu’il s’agisse de musique ou de coutumes. Plusieurs lĂ©gendes et histoires populaires de la Galice ont les mĂȘmes origines que celles connues dans d’autres rĂ©gions Ă  influence celtique, par exemple l’Irlande. L’intime art roman galicien La Galice compte le plus grand nombre de bĂątiments romans en Espagne, mĂȘme si une telle richesse patrimoniale n’est pas divulguĂ©e comme dans d’autres lieux de la pĂ©ninsule. Seulement un certain retard dans le catalogue de ces monuments a empĂȘchĂ© que cette rĂ©gion soit Ă©valuĂ©e comme elle le mĂ©rite dans un contexte de l’art roman hispanique ; l’histoire et l’évolution de l’art galicien roman passe par une sĂ©rie de phases et vicissitudes trop complexes pour les dĂ©tailler ici. Tout au long du Moyen-Âge s’est dĂ©veloppĂ©e en Galice une pĂ©riode de construction oĂč prĂ©domina l’art roman, dans les grandes cathĂ©drales comme celle de Saint-Jacques-de-Compostelle, aussi bien que dans les monastĂšres, comme ceux de la Ribeira Sacra, caractĂ©risĂ© par l’importance des monuments, vĂ©ritables plaques fortes de l’architecture mĂ©diĂ©vale. Mais l’art roman s’est aussi imposĂ© dans des centaines de paroisses rurales, Ă©parpillĂ©es un peu partout dans le territoire, plus particuliĂšrement dans la centre de la Galice. À la tĂȘte du roman galicien on trouve la cathĂ©drale Saint Jacques-de-Compostelle mais la Galice est riche en cathĂ©drales mĂ©diĂ©vales, comme Lugo, Ourense, Tui et Mondoñedo. Les zones Ă  l’interieur , lĂ  oĂč les quatre provinces sont presque unies dans un seul point, on retrouve l’une des plus grandes concentrations d’art roman de toute l’Espagne. Tout le long aussi de la cĂŽte atlantique, depuis Pontevedra jusqu’à Lugo, passant par La Corogne, l’art roman rural est Ă©tendu spĂ©cialement aussi aux cĂŽtes de Pontevedra et du golfe Ártabro de La Corogne et jusqu’à d’autres zones plus Ă©loignĂ©es de la cĂŽte, dans toute la vallĂ©e verte ou montagneuse on avait Ă©rigĂ© des centaines de paroisses rurales. Quelques communes ont plusieurs Ă©glises romanes, des temples paroissiaux et des ermites de la plus grande qualitĂ© artistique. Elles passent souvent inaperçues aux regards d’un public non averti. La force visuelle des ces bĂątiments de granit, presque tous bien conservĂ©s sauf par l’action directe de l’homme, est une rendue consubstantielle au territoire galicien. Une autre caractĂ©ristique de cet art galicien est sa conservation dans le temps et la persistance de l’architecture des formes romanes pendant les siĂšcles du bas Moyen Áge. Bien que quelques innovations gothiques aient Ă©tĂ© utilisĂ©es, les couvents et les temples ruraux des siĂšcles XIIIe au XVe, lesquels presque tous, perdurent de claires rĂ©miniscences romanes, spĂ©cialement dĂ©rivĂ©es du monde mateano » du maĂźtre Mateo de la cathĂ©drale de saint Jacques de Compostelle. L’intime simplicitĂ© de cet art s’est pleinement identifiĂ© avec l’esprit de recueillement du paysage et de la dĂ©votion galicienne. Dans les hameaux ou lieux-dits, aujourd’hui isolĂ©s, des chemins en marge des routes touristiques habituelles conduisent vers ces tĂ©moins de tant d’histoire. Pour les visiter, il faut s’adresser sans rĂ©ticence aux habitants du village qui gardent les clĂ©s des chapelles et connaissent plus d’une histoire sur leur passĂ©. Parfois abandonnĂ© par l’Église et par l’administration, parfois victimes de restaurations sauvages, ce patrimoine garde encore, dans son granit sĂ©culaire, la finesse d’un loup, Ă  San Miguel d’EirĂ©, les signes lapidaires sĂ©culaires des tailleurs, ou des jalousies d’inspiration celtique encastrĂ©es avec d’autres pierres de taille prĂ©-romanes, dans les murs de l’église de saint Estevo d’AtĂĄn. Pierre dans la pierre, le monde galaĂŻco a toujours Ă©tĂ© dans cette superposition de cultures et de civilisations. La faĂŻence de Sargadelos Le complexe industrielle et culturel de Sargadelos rĂ©pond Ă  un projet intĂ©gral et moderne d’une grande importance pour la Galice, l’entreprise, dont les origines remontent Ă  deux siĂšcles en arriĂšre, vers la fin du XVIIIe, pour renaĂźtre au XXe siĂšcle et contribue ainsi Ă  la rĂ©cupĂ©ration de la mĂ©moire du pays et une utilisation des ressources naturelles de la rĂ©gion, oĂč industrie et dimension artistique sont en relation Ă©troitement liĂ©es. L’initiateur du projet fut l’illustre galicien-asturien, Antonio Raimundo Ibåñez Llano y ValdĂ©s, libĂ©ral Ă©clairĂ©, que le peuple et les premiers historiens ont fait Marquis de Sargadelos et qui mettra en marche la premiĂšre sidĂ©rurgie intĂ©grale de l’Espagne. AprĂšs avoir dĂ©couvert et identifiĂ© des rĂ©servoirs proches du caolĂ­n kaolin, au dĂ©but du XIXe. Dans ce mĂȘme complexe vont crĂ©er aussi une usine pour la fabrication de faĂŻences que, entre autres innovations, introduisait dans le panorama ibĂ©rique un dessin particulier de dĂ©coration mĂ©canique des vaisselles imprimĂ©es. Cependant, au cours de la guerre de l’IndĂ©pendance d’Espagne 1808-1813, guerre napolĂ©onienne, Ibåñez, accusĂ© par ses ennemis d’ĂȘtre un afrancesado», un partisan de NapolĂ©on, a Ă©tĂ© traĂźnĂ© par terre jusqu’à ce qu’il meurt dans les rues de Ribadeo, oĂč il avait son pazo » manoir, face Ă  la passivitĂ© de l’armĂ©e anglaise retranchĂ©e dans la ville. Cette Ă©pisode, tragique et injuste a Ă©tĂ© l’objet de recherches controversĂ©es parmi les historiens, et motif littĂ©raire pour un grand nombre d’écrivains. Ibåñez assassinĂ©, ses usines ont eu une subsistance inĂ©gale jusqu’à ce qu’elles cessent en 1875, date Ă  la quelle se consume la fermeture et s’initie la dĂ©gradation du complexe architectonique. Sargadelos Ă©tait un point important pour entreprendre la rĂ©cupĂ©ration de l’histoire de la Galice. Et avec sa restauration, naĂźt d’un projet de 1963 du Laboratoire de Formes de Galice, puis soutenu et associĂ© par l’expĂ©rience acquise des FaĂŻences du Castro depuis 1947. Par consĂ©quent, la convention entre le Laboratoire des Formes, institution conçue en Argentine par Luis Seoane et Issac Diaz Pardo, crĂ©ateurs artistiques et intellectuels galegistas exilĂ©s, et FaĂŻences du Castro, ils vont mettre en marche les projets qui avaient cristallisĂ© avec un secteur expĂ©rimental en 1968, qui aboutira finalement, le 10 mai 1970 par l’inauguration de la nouvelle entreprise de Sargadelos dont les buts Ă©taient de restaurer la mĂ©moire historique cachĂ©e par la dictature du gĂ©nĂ©ral Franco et de crĂ©er en mĂȘme temps une industrie propre. L’entreprise a situĂ© les installations industrielles hors de l’ancienne enceinte du complexe de Sargadelos, et puis, le Laboratoire de Formes avait demandĂ© en 1972 que cet ensemble soit protĂ©gĂ© et dĂ©clarĂ© d’Historique-Artistique, protection lui fut accordĂ© cette mĂȘme annĂ©e. C’est ainsi que, sous la direction de Diaz Pardo, retournĂ© en Galice, se fonde Ă  nouveau la FaĂŻencerie de Sargadelos ». Depuis lors, des formes traditionnelles galiciennes et des expĂ©riences d’avant garde internationales se combinent dans une variĂ©tĂ© infinie de piĂšces Ă  usage quotidien ou dĂ©coratif d’une qualitĂ© et d’un sucĂ©es extraordinaires. ParallĂšlement, le Groupe Sargadelos est Ă  l’origine de projets culturels et industriels, devenus fondamentaux dans la Galice actuelle. Parmi ses initiatives, on peut citer, entre autres, le sĂ©minaire de Sargadelos, consacrĂ©e Ă  la recherche technique, artistique et historique ; Ă  Sada, d’une part, le musĂ©e Carlos Maside d’Art galicien contemporain, d’autre part, le complexe Do Castro faĂŻence, arts graphiques et maison d’édition, ainsi que le Laboratoire gĂ©ologique de Laxe de la Fondation Parga Pondal ; Ă  Saint-Jacques-de-Compostelle, l’Institut Galicien de l’Information IGN et son auditorium et, finalement, partout en Galice et dans d’autres pays en Europe. Le Royal Patronat de Sargadelos, qui protĂšge l’ensemble, a son siĂšge dans la nouvelle reconstruction de la Casa da AdministraciĂłn Maison de l’Administration. Pontevedra Galice, Espagne Photo IvĂĄn PC L’émigration, une rĂ©sistance culturelle et politique L’émigration galicienne remonte Ă  l’époque moderne, quand les plus dĂ©shĂ©ritĂ©s se dĂ©plaçaient vers d’autres lieux de la pĂ©ninsule IbĂ©rique pour rĂ©aliser, en tant que saisonniers les travaux les plus durs, comme la moisson ou le charriage. Mais, en rĂ©alitĂ©, c’est au XVIIIe siĂšcle que commença la vĂ©ritable diaspora des travailleurs vers les AmĂ©riques. Tout au long de ce siĂšcle, le retard Ă©conomique, la situation gĂ©ografique et la politique espagnole ont rendu propice l’exode massif des Galiciens en AmĂ©rique, au point que que celui-ci a atteint un tiers de la population, un chiffre qui tourne autour des deux millions de personnes. Le nombre d’émigrĂ©s originaires de Galice Ă©tant tellement important que, dans plusieurs pays amĂ©ricains, il Ă©tait habituel d’appeler Gallegos » tous les Espagnols qui s’y installaient. Avec le temps, ces Galiciens de l’exterieur se sont organisĂ© dans des associations culturelles et des Ɠuvres de bienfaisance, crĂ©ant de grands comitĂ©s Ă  La Havane, Buenos Aires, ou Montevideo. Certains parmi les plus fortunĂ©s ont financĂ© la prĂ©servation et le rayonnement des traditions et de la langue galiciennes dans l’émigration, ainsi que la rĂ©alisation d’Ɠuvres philanthropiques dans leur terre d’origine travaux publics, Ă©coles, centres culturels
 L’AmĂ©rique latine ne pouvait plus s’expliquer sans la Galice le prĂ©sident cubain Fidel Castro ou l’ex-prĂ©sident argentin RaĂșl AlfonsĂ­n sont descendants de Galiciens mais, en retour la Galice ne peut pas non plus se comprendre sans l’AmĂ©rique latine l’hymne galicien a Ă©tĂ© composĂ© Ă  Cuba et partout il existe de traces de l’empreinte indiana » des Ă©migrants retournĂ©s, par exemple dans l’architecture ou la botanique. Au XXe siĂšcle, la prĂ©occupation civique et galleguiste » de quelques-unes de ces communautĂ©s Ă©migrantes conflua avec l’attitude revendicative des exilĂ©s arrivĂ©s en AmĂ©rique aprĂšs l’éclatement de la guerre civile. Il s’est alors produit Ă  l’extĂ©rieur un important foyer de rĂ©sistance culturelle et politique de la spĂ©cificitĂ© galicienne, persĂ©cutĂ©e en Galice par la dictature du gĂ©nĂ©ral Franco. Pendant cette pĂ©riode, une nouvelle Ă©migration s’est produite, cette fois-ci Ă  destination des pays de l’Europe centrale, oĂč les nouvelles associations Ă©migrantes ont ainsi Ă©tĂ© crĂ©es. Il n’est pas de famille galicienne qui n’ait connu, en consĂ©quence, l’émigration, soit Ă  travers ses aĂŻeux, soit parmi ses proches. Galiciens cĂ©lĂšbres Ecrivains et artistes de Galice Pour les Galiciens, le Finisterre n’a jamais Ă©tĂ© le bout, mais le dĂ©but. »Citation de RaĂșl Ricardo AlfonsĂ­n, premier prĂ©sident Ă©lu d’Argentine et fils de Galicien. La saignante Ă©migration galicienne vers les AmĂ©riques, puis l’Europe, oblige Ă  mentionner quelques fils » cĂ©lĂšbres Manuel Chao, dit Manu Chao, pĂšre Galicien et mĂšre Basque, nĂ© Ă  Paris, chanteurJosĂ© Doval, dit JosĂ© Garcia, fils de Galiciens, nĂ© Ă  Paris, acteurGabriel GarcĂ­a MĂĄrquez, Ă©crivain, petit-fils de GaliciensBernardino Rivadavia, premier prĂ©sident argentin 1780-1845, capitaine du Tercio de Gallegos » dĂšs 1807Pedro Benito CambĂłn, fondateur de San FranciscoFidel Castro, nĂ© Ă  Cuba, fils d’un Galicien, prĂ©sident de Cuba depuis 1959RaĂșl AlfonsĂ­n, ex-president argentinNĂ©lida Piñón, fille de Galiciens au BrĂ©silRubĂ©n Blades, fils de Galiciens Ă  PanamaRamĂłn EstĂ©vez, dit Martin Sheen, fils de GaliciensAdolfo PĂ©rez Esquivel, Prix nobel de la Paix, nĂ© Ă  Buenos-AiresFernando Caldeiro, dit Frank Caldeiro, astronaute Ă  la NASA, nĂ© Ă  Buenos-Aires, fils de GaliciensLuĂ­s Vaz de CamĂ”ens, le plus grand poĂšte portugais du XVIe siĂšcle 1524 – 1580, une rĂ©fĂ©rence nationale pour les Portugais serait nĂ© Ă  Lisbonne en 1524. C’est le fils de SimĂŁo Vaz de CamĂ”es, gentilhomme de la maison du roi issu d’une famille originaire de de Cervantes Saavedra, connu notamment pour son ouvrage, Don Quichotte, porte le nom Saavedra » d’origine galicienne par sa Iglesias, nĂ© Ă  Madrid, Rianxo 1886-1950 Ă©crivant journaliste et dessinateur caricaturiste de la revue Nos et profondĂ©ment nationaliste JosĂ© Cela, Ă©crivain et prix Nobel de littĂ©ratureRamĂłn MarĂ­a del Valle-InclĂĄnRosalĂ­a de CastroManuel Curros EnrĂ­quezIgnacio Ramonet, Redondela, directeur du Monde diplomatiqueRamĂłn Chao, Ă©crivain, journalisteMarĂ­a Casares PĂ©rez, La Corogne, 1922 – Paris, 1996 – artisteFernando Casado Arambillet, dit Fernando Rey, La Corogne, 1917 – Madrid, 1994 – ActeurEmilia Pardo BazĂĄnGonzalo Torrente Ballester, O Ferrol 1910-1999Caroline Otero, dite la belle Otero Ponte Valga, 1868 – Nice, 1965Carlos Nuñez, musicienSusana Seivane, musicienneJuan Pardo, nĂ© Ă  Palma de Majorque, croonerVicente Risco, Ă©crivain. Hommes politiques de Galice Castelao, Rianxo 1886-1950 homme politique, profondĂ©ment galleguisteFrancisco Franco, O Ferrol 1892-1975, gĂ©nĂ©ral et chef de l’Etat Caudillo de EspañaPablo Iglesias Posse, O Ferrol 1850-1925, fondateur du PSOE – Parti Socialiste ouvrier espagnol et de l’UGTConcepciĂłn Arenal, O Ferrol 1820-1893, une des initiatrices du fĂ©minisme espagnolJosĂ© Calvo Sotelo, Tuy 1893-1936 Ă©tait un homme politique espagnol monarchiste de premier plan avant la guerre civile espagnoleRaĂșl AlfonsĂ­n, premier prĂ©sident de la RĂ©publique d’Argentine [1983-1989]Mariano Rajoy , PrĂ©sident du parti populaire espagnol depuis Fraga, ancien ministre de Franco, prĂ©sident de la CommunautĂ© Autonome de Galice de 1989 Ă  2005Emilio PĂ©rez Touriño, socialiste, prĂ©sident de la CommunautĂ© Autonome de Galice depuis Bolay, vice-prĂ©sidente du Grand Conseil de la RĂ©publique et canton de GenĂšve 2007. Politique en Galice Les compĂ©tences de la communautĂ© autonome de Galice et l’organisation de ces pouvoirs sont dĂ©finies dans le Statut d’autonomie de Galice qui joue en quelque sorte le rĂŽle de constitution. Le pouvoir exĂ©cutif est exercĂ© par la Xunta de Galicia Junte de Galice» Ă  la tĂȘte de laquelle se trouve le prĂ©sident de la Galice. Le parlement de Galice, oĂč siĂšgent 75 dĂ©putĂ©s, exerce le pouvoir lĂ©gislatif. Tous les quatre ans, des Ă©lections sont organisĂ©es pour renouveler le parlement. Histoire de la Galice La Galice doit son nom aux anciens Gallaeci, un peuple celte implantĂ© dans cette rĂ©gion jusqu’au fleuve Douro vers le VIe siĂšcle ou Ve siĂšcle avant l’ùre chrĂ©tienne ; ce sont les mĂȘmes Celtes qui auraient peuplĂ© la Bretagne et la Galice. Cependant, bien que la langue celte se soit maintenue jusqu’à l’arrivĂ©e des envahisseurs romains, elle n’a pas survĂ©cu jusqu’à la fin de l’Empire romain. La Gallaecia devint une province romaine dotĂ©e d’une certaine autonomie avec ses propres capitales Braga, Lugo et Astorga. Au cours des derniĂšres dĂ©cennies de l’Empire romain, soit au dĂ©but des grandes invasions germaniques, les SuĂšves, un peuple Ă©tabli entre le Rhin et le Danube, arrivĂšrent en Espagne en 409. Les nouveaux envahisseurs s’installĂšrent en Galice mais ne purent imposer leur langue, car les Gallaeci continuĂšrent de parler le latin qui commença Ă  Ă©voluer diffĂ©remment de la langue mĂšre. L’influence la plus durable laissĂ©e par les Romains demeure la langue galicienne qui se dĂ©veloppa Ă  partir du latin parlĂ© dans cette rĂ©gion. Le latin a donnĂ© naissance Ă  toutes les autres langues de la pĂ©ninsule ibĂ©rique castillan, catalan, portugais, galicien, aranais, aragonais, etc., Ă  l’exception du basque dont les locuteurs conservĂšrent leur langue d’origine qui n’est apparentĂ©e Ă  aucune autre langue connue. Le royaume de Galice La conquĂȘte romaine 137-22 avant JĂ©sus-Christ, motivĂ©e par la richesse en minerais, a créé, au fil des siĂšcles, une culture oĂč les Ă©lĂ©ments indigĂšnes se sont manifestĂ©s avec une force croissante. Les voies romaines, les ponts Bibei, Orense, les murailles Lugo et les exploitations agricoles autour des villae changent peu Ă  peu l’image du pays. La Gallaecia devient une province romaine indĂ©pendante avec ses propres capitales, Braga, Lugo et Astorga. Mais la trace fondamentale laissĂ©e par les romains demeure la langue galicienne. Le christianisme change progressivement la religiositĂ© populaire, mĂȘme si celle-ci subsiste Ă  travers des mythes, des rites et des symbolismes particuliĂšrement riches. Au IVe siĂšcle, les premiers siĂšges Ă©piscopaux font leur apparition, les doctrines priscillianistes ayant un singulier succĂšs dans le monde rural. Priscillien finit par ĂȘtre exĂ©cutĂ©, accusĂ© de magie et d’orgies sexuelles mais il fut considĂ©rĂ© dans la Gallaecia comme un martyr, Ă  un tel point que les Ă©vĂȘques galiciens, au cours du synode de TolĂšde de 396, refusĂšrent de ne pas considĂ©rer les priscillianistes comme des martyrs. En 425-426, les Vandales, un autre peuple germanique, refoulĂšrent les SuĂšves et s’établirent Ă©galement en Galice. AprĂšs une Ă©poque initiale de conflits, Galiciens, SuĂšves et Vandales s’alliĂšrent et fondĂšrent un royaume qui dura un siĂšcle et demi. C’est Ă  cette Ă©poque que la Galice reçut le dernier apport ethnique avec l’établissement, au nord de Lugo, d’un important groupe de Bretons. Puis, le roi wisigoth LĂ©ovigild annexa, en 585, le royaume suĂšve de Galice, qui devint alors une unitĂ© administrative du royaume wisigoth. Au cours des quelques siĂšcles qui suivirent, les divers peuples composant la Galice, c’est-Ă -dire les Galéïco-Romains, les SuĂšves, les Vandales, les Bretons et les Wisigoths, s’intĂ©grĂšrent socialement et linguistiquement, puis fortifiĂšrent leur royaume. Ce fut une Ă©poque d’ñge d’or pour la Galice qui s’étendit sur presque toute la cĂŽte ouest de la pĂ©ninsule le Portugal actuel. En 711, les Arabes mirent fin Ă  la domination wisigothe sur l’ensemble de la pĂ©ninsule IbĂ©rique mais l’influence arabe demeura toujours faible en Galice car, Ă  part quelques incursions, les Arabes ne s’installĂšrent pas dans cette rĂ©gion. Sur le plan linguistique, les Galiciens consolidĂšrent leur langue, le galicien gallego, qui se dĂ©veloppa non seulement en Galice du Nord l’actuelle communautĂ© autonome de Galice, mais aussi dans toute la Galice du Sud le Portugal d’aujourd’hui. Durant tout le Moyen-Âge, on parlait la mĂȘme langue en Galice du Nord et en Galice du Sud. Le fleuve Miño, qui sĂ©pare la Galice du Nord et la Galice du Sud Portugal, Ă©tait au centre de l’aire de la langue commune galeĂŻco-portugaise. C’est ce parler commun, caractĂ©risĂ© par des emprunts celtiques et germaniques, qui s’est diffusĂ© jusqu’au sud du Portugal lors de la ReconquĂȘte espagnole sur les Arabes. Le galicien, une langue et une culture Langue romane, le galicien a avec le portugais un tronc commun, le gallego-portuguĂ©s ou galicien-portugais issu du latin, au cours du Moyen Âge. Ce fait a motivĂ© la crĂ©ation d’une riche littĂ©rature mĂ©diĂ©vale et a donnĂ© naissance aux deux langues actuelles le galicien et le portugais d’une assez forte ressemblance. Un mouvement linguistique le reintegracionisme soutient que le galicien et le portugais ne sont que deux variĂ©tĂ©s de la mĂȘme langue gallego-luso-brasileiro et que l’actuelle sĂ©paration entre le portugais officiel et le galicien officiel n’est due qu’à l’hispanisation normative du galicien seule variĂ©tĂ© galaĂŻco-portuguĂ©s s’écrivant avec une orthographe semblable Ă  celle du castillan. De fait, selon beaucoup de linguistes, la diffĂ©rence entre le galicien et le portugais parlĂ©s est approximativement la mĂȘme que celle qui sĂ©pare les deux variĂ©tĂ©s du nĂ©erlandais parlĂ© nĂ©erlandais des pays-bas et flamand de belgique ces deux variĂ©tĂ©s partagent par contre la mĂȘme orthographe. Un Galicien et un Portugais se comprennent donc assez bien. Le plus ancien document connu Ă©crit en galicien a Ă©tĂ© rĂ©cemment trouvĂ©. Il date de l’annĂ©e 1228 et s’appelle le Foro do bo burgo do Castro Caldelas. Il a Ă©tĂ© accordĂ© par Alphonse IX en avril de cette annĂ©e Ă  la ville d’Orense, d’Allariz. La culture de la Galice est indissociable de cette langue et maintient vivante une tradition comportant des Ă©lĂ©ments celtes, hĂ©ritĂ©e des peuples celtes Ă©tablis dans les castros » avant l’arrivĂ©e des Romains. AprĂšs la dĂ©cadence culturelle de l’époque moderne, le galicien et sa littĂ©rature ont ressurgi avec la renaissance du XIXe siĂšcle, appelĂ© le siĂšcle du Rexurdimento et avec la pĂ©riode Nos Nous » du premier tiers du XXe. MalgrĂ© l’interruption du processus, Ă  cause de la guerre d’Espagne et de la dictature franquiste, la culture galicienne s’est Ă  nouveau imposĂ©e progressivement depuis les annĂ©es cinquante jusqu’à nos jours. Avec l’arrivĂ©e de l’autonomie en 1981, le galicien est devenu langue officielle avec le castillan en Galice. Le galicien est enseignĂ© Ă  l’école primaire et il est langue vĂ©hiculaire importante dans l’enseignement secondaire et dans les trois universitĂ©s du territoire galicien celle de Saint-Jacques-de-Compostelle avec son campus de Lugo, celle de La Corogne avec son campus Ă  Ferrol et celle de Vigo avec deux campus, Ă  Ourense et Ă  Pontevedra. La sĂ©paration du galicien et du portugais Soumise par les rois des Asturies au VIIIe siĂšcle, la Galice fut rĂ©unie au royaume de LeĂłn et de Castille en 1071. En 1230, sous le rĂšgne de Ferdinand III de Castille, le royaume de Galice s’intĂ©gra dĂ©finitivement Ă  la monarchie castillane de LĂ©on et de Castille. Auparavant, une partie de la Galice du Sud le nord du Portugal actuel Ă©tait devenue indĂ©pendante, puis le royaume du Portugal se constitua dĂ©finitivement en 1139 avec les frontiĂšres actuelles. DĂšs lors, la frontiĂšre politique qui se fixa dĂ©finitivement entre le Portugal et la Galice produisit peu Ă  peu ses effets sur la langue commune galeĂŻco-portugaise. Cette langue, pourtant nĂ©e en Galice du Nord, qui s’était implantĂ©e au sud lors de la ReconquĂȘte espagnole contre les Arabes, fut coupĂ©e de ses racines galiciennes et subit des influences diffĂ©rentes. Ainsi, alors que le galicien du Nord galéïco-castillan commençait Ă  ĂȘtre colonisĂ© par l’Espagne et empruntait massivement au castillan, le galicien du Sud galeĂŻco-portugais subit l’influence arabe, puis, plus tard, soumis Ă  la dynastie des ducs de Bourgogne et Ă  l’influence des moines de Cluny cĂ©lĂšbre abbaye de Bourgogne, il emprunta une partie de son vocabulaire au français. À partir de 1500, le terme portugais remplaça dĂ©finitivement celui de gallego pour dĂ©signer la langue parlĂ©e par les Portugais, ce qui scella la fragmentation du gallego en deux langues. Dans les siĂšcles qui suivirent, les Galiciens furent de plus en plus influencĂ©s par le castillan qui imprĂ©gna massivement leur langue. Toutefois, encore aujourd’hui, Portugais et Galiciens parlant leur langue galeĂŻco-portugaise et non le galeĂŻco-castillan peuvent aisĂ©ment se comprendre, en dĂ©pit des diffĂ©rences phonĂ©tiques, grammaticales et surtout lexicales. À l’écrit, le galicien et le portugais demeurent assez semblables, exception faite, bien entendu, des diffĂ©rences lexicales parfois importantes. Le dĂ©clin du galicien Durant tout le XVIe siĂšcle, une derniĂšre pĂ©riode de prospĂ©ritĂ© Ă©conomique en Galice entraĂźna une explosion dĂ©mographique et un dĂ©veloppement artistique et linguistique qui atteindra son point culminant Ă  l’époque baroque. Cependant, l’absolutisme royal, la religion catholique et la culture castillane officielle, les trois forces majeures qui devaient unir l’Espagne, ont fait en sorte que le galicien, exclu de tout usage officiel, fut considĂ©rĂ© comme une langue pouvant seulement ĂȘtre utilisĂ©e dans les communications orales informelles. Il s’ensuivit une longue pĂ©riode sombre appelĂ©e les Siglos Oscuros les SiĂšcles sombres, qui ne se terminera qu’avec l’avĂšnement de la dĂ©mocratie en 1975. La Galice poursuivit son dĂ©clin au XIXe siĂšcle et demeura coupĂ©e du reste de l’Espagne. Pour diverses raisons, la modernisation rurale n’a pas Ă©tĂ© possible en Galice, qui sortit du XIXe siĂšcle avec une Ă©conomie sous-dĂ©veloppĂ©e et exclusivement agricole, ce qui entraĂźna une Ă©migration massive vers l’Espagne d’abord, puis Ă  l’extĂ©rieur du pays. Entre 1860 et 1936, la plupart des Galiciens Ă©migrants sont partis pour Cuba, l’Argentine, le BrĂ©sil et le Venezuela. La Galice prit alors un retard considĂ©rable sur le reste de l’Espagne et la langue galicienne resta confinĂ©e aux communications orales et perdit tout prestige social. Ce n’est certes pas le rĂ©gime autoritaire de Francisco Franco 1936-1975, lequel avait mĂȘme interdit l’usage du galicien, qui favorisa la restauration de la langue galicienne. Dans les annĂ©es 50, l’émigration galicienne s’est poursuivie vers l’Europe centrale Royaume-Uni, France, Allemagne, Pays-Bas, Belgique et Suisse ainsi que dans les principaux centres industriels de l’Espagne Catalogne, Pays basque et RĂ©gion de Madrid. Cette saignĂ©e de la population a commencĂ© Ă  ralentir au dĂ©but des annĂ©es soixante-dix. Puis, une fois passĂ© le rĂ©gime de la dictature franquiste 1975, la Galice a pu enfin bĂ©nĂ©ficier d’un statut d’autonomie oĂč sa condition de nationalitĂ© a Ă©tĂ© proclamĂ©e en vertu des dispositions de la Constitution espagnole de 1978. La CommunautĂ© autonome de Galice a alors Ă©tĂ© instituĂ©e et le galicien fut reconnu co-officiel avec le castillan. L’utilisation de la langue par la population est en diminution depuis ces derniĂšres annĂ©es dans les secteurs ruraux au profit du castillan espagnol. Cette langue est influente dans les centres urbains depuis plus longtemps encore. MalgrĂ© cette Ă©volution historique en faveur du castillan, une rĂ©cente Ă©tude sur les coutumes idiomatiques de la population galicienne montre que 80% de cette population pratique toujours le galicien. De nombreux Galiciens Ă©migrĂšrent au BrĂ©sil et en Argentine, Ă  tel point que l’on surnomme aujourd’hui gallego galicien » en français les personnes blondes et Ă  la couleur claire au BrĂ©sil. Encore aujourd’hui, dans la plus grande partie de l’AmĂ©rique latine, tous les habitants venant d’Espagne ou vivant dans ces pays on les appelle encore, les Galiciens, quelque soit leurs origines rĂ©gionales. La Galice possĂšde le statut de communautĂ© autonome depuis le 28 avril 1981. Le 13 novembre 2002, le Prestige avait fait naufrage Ă  270 km des cĂŽtes. Le fioul avait atteint les plages galiciennes. Source
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En 711, un contingent militaire arabe et berbĂšre au service de la dynastie des Omeyyades de Damas, dĂ©barque sur la pĂ©ninsule ibĂ©rique prĂšs du mont Djebel Tarik Gibraltar. L'Hispanie qui est le royaume des Wisigoths depuis 418, devient Al Andalus Ă  partir de 756, l'Ă©mirat autonome de Cordoue se constitue. Aux IXe et Xe siĂšcles, l'influence arabe et musulmane s'impose dans tous les domaines, politique, juridique, linguistique, scientifique et vous intĂ©ressera aussiLes Omeyyades sont une dynastie arabe de califes qui gouvernent le monde musulman de 661 Ă  750. Ils fondent le califat omeyyade de Damas en prenant la ville comme capitale l'expansion est foudroyante et c'est un vĂ©ritable empire qui s'Ă©tend de l'Indus jusqu'Ă  la pĂ©ninsule ibĂ©rique, en passant par le Maghreb. Cette derniĂšre rĂ©gion s'avĂšre plus difficile Ă  conquĂ©rir en raison de la rĂ©sistance des tribus berbĂšres qui occupent le territoire. AprĂšs la dĂ©faite des BerbĂšres en 702, les Omeyyades imposent l'islamisation aux tribus nomades et les enrĂŽlent dans leur armĂ©e. DĂšs avril 711, l'invasion rapide de la pĂ©ninsule ibĂ©rique est entreprise avec l'aide des BerbĂšres, en espĂ©rant un appui de la population juive opprimĂ©e par les rois 716, toute l’Espagne est occupĂ©e sauf le royaume des Asturies et le pays des Vascons Basques. Les sarrasins » ainsi nommĂ©s par les chroniqueurs latins du VIIIe siĂšcle, conquiĂšrent temporairement la Septimanie Languedoc et lancent des razzias jusqu'au sud de la Loire afin de tester la rĂ©sistance des Francs ; ils sont finalement arrĂȘtĂ©s par l'armĂ©e de Charles Martel, Ă  Poitiers en 732. L'ancien royaume wisigoth devient Al Andalus, province ibĂ©rique de l'empire omeyyade en 756, elle acquiert son autonomie et sa capitale est fixĂ©e Ă  Cordoue ; elle est gouvernĂ©e par l'Ă©mir Abd al Rahman Ier, prince omeyyade rescapĂ© du massacre de sa famille par la nouvelle dynastie des Abbassides installĂ©e Ă  Damas. Al Andalus, l’islamisation de la sociĂ©tĂ© DĂšs le dĂ©but du VIIIe siĂšcle, la sociĂ©tĂ© hispanique est fragmentĂ©e en fonction de la religion les chrĂ©tiens prĂ©sents sur ces terres avant l'arrivĂ©e des musulmans royaume wisigoth les juifs comme les chrĂ©tiens, ils sont installĂ©s avant l'arrivĂ©e des arabes mais sont persĂ©cutĂ©s par les rois wisigoths conversions forcĂ©es Ă  la fin du VIIe siĂšcleles musulmans, essentiellement des commerçants rĂ©cemment installĂ©s dans le pays avant l'arrivĂ©e des d'Al Andalus va passer par l'acculturation de ses habitants bĂ©nĂ©ficiaires de pactes de tolĂ©rance, les chrĂ©tiens et les juifs reçoivent le statut de dhimmis » c'est-Ă -dire protĂ©gĂ©s, qui les transforme en fait en sujets de seconde zone. La dhimma » leur permet de pratiquer leur religion tant qu'ils acceptent leur infĂ©rioritĂ© juridique vis-Ă -vis des musulmans et leur paient une taxe de protection. La seule Ă©chappatoire est la conversion ou la chrĂ©tiens non convertis appelĂ©s ultĂ©rieurement mozarabes » se sont progressivement intĂ©grĂ©s nombreux Ă  TolĂšde, SĂ©ville et Cordoue, ils gardent leur propre administration et leur hiĂ©rarchie ecclĂ©siastique, tout en adoptant le genre de vie et la langue des nouveaux occupants. Les lettrĂ©s maĂźtrisent le latin mais tous parlent l'arabe et des dialectes romans. Ils constituent encore les trois quarts de la population d'Al Andalus au dĂ©but du Xe siĂšcle ; ils disparaissent Ă  la fin du XIe siĂšcle. La situation des juifs est globalement meilleure que celle des chrĂ©tiens ils sont d'actifs collaborateurs du pouvoir musulman et leur arabisation est totale au Xe siĂšcle. Leur situation se dĂ©tĂ©riore cependant dĂšs le XIe siĂšcle, avec les Almoravides puis les Almohades dynasties berbĂšres qui mettent un terme Ă  la relative tolĂ©rance dont ils bĂ©nĂ©ficient les juifs sont contraints de choisir la conversion Ă  l'islam ou la fuite vers les royaumes chrĂ©tiens et l'Egypte. L'islamisation de la sociĂ©tĂ© aprĂšs la conquĂȘte arabe est donc rapide certains historiens estiment que la moitiĂ© de la population est dĂ©jĂ  islamisĂ©e au Xe siĂšcle, 80 % au XIe siĂšcle et 90 % au XIIe de savoirsL'Hispanie devenue Al Andalus donne naissance Ă  une culture originale, faite d'hĂ©ritages croisĂ©s entre monde arabe, latin, juif et grec. Une grande partie des transferts de savoirs du monde musulman au monde latin, s'effectue grĂące Ă  la traduction de l'arabe dĂšs le Xe siĂšcle les couvents catalans ont des contacts Ă©troits avec le savoir arabe ; les moines travaillent sur des traductions d'ouvrages d'astronomie ou d'arithmĂ©tique. Au XIIe siĂšcle, l'Ă©cole » de TolĂšde est considĂ©rĂ©e comme le premier centre de traduction de l'arabe en latin. TolĂšde est un foyer de culture multilingue qui comporte un grand nombre de juifs et de chrĂ©tiens de langue arabe. Les traducteurs juifs passent de la langue arabe orale Ă  l'espagnol et les clercs chrĂ©tiens transcrivent l'espagnol en latin. Le livre tient donc une place importante dans le monde arabo-musulman les villes de TolĂšde, Saragosse, Grenade abritent d'imposantes bibliothĂšques avec de nombreux Andalus est le fruit d'interactions entre les diffĂ©rentes aires culturelles musulmanes, juives, chrĂ©tiennes et byzantines. Ces diverses influences concernent la littĂ©rature, l'art, les sciences et les techniques astronomes, agronomes, mĂ©decins, botanistes, philosophes, musiciens et poĂštes, vont contribuer au fil des siĂšcles Ă  crĂ©er le riche Ă©ventail culturel d'Al Andalus. Parmi eux, on peut citer le mĂ©decin Avenzoar, le juriste, thĂ©ologien et philosophe AverroĂšs, le gĂ©ographe Al Idrisi, le thĂ©ologien juif MaĂŻmonide. Les recherches archĂ©ologiques et historiques dĂ©montrent l'importance de cet hĂ©ritage dans l'Ă©panouissement de la civilisation d’or d'Al AndalusAu Xe siĂšcle, Al Andalus connaĂźt un vĂ©ritable Ăąge d'or le califat de Cordoue est proclamĂ© en 929, l'autoritĂ© du calife s'Ă©tend au delĂ  d'une ligne frontiĂšre qui relie les villes de Porto - Salamanque - Saragosse - LĂ©rida. Les royaumes chrĂ©tiens du nord de la pĂ©ninsule acceptent leur soumission politique au calife Abd al Rahman III, qui a Ă©galement mis un frein Ă  l'expansion des tribus berbĂšres d'Afrique du nord les Fatimides. Il peut ainsi contrĂŽler la route du commerce de l'or au capitale Cordoue est la ville la plus peuplĂ©e d'Europe, avec une population estimĂ©e entre et habitants vers 980 ; les villes de TolĂšde, SĂ©ville, Grenade et Saragosse comptent environ habitants et abritent des communautĂ©s juives florissantes. A Cordoue se concentrent les principaux organes administratifs et religieux le palais des Ă©mirs, la bibliothĂšque et la mosquĂ©e. Construite Ă  partir de 786 sur les vestiges d'une basilique chrĂ©tienne, la grande mosquĂ©e de Cordoue est agrandie par Ă©tapes entre le VIIIe et le Xe siĂšcle pour atteindre une superficie de 2,3 hectares. L'architecture exceptionnelle de l'Ă©difice doit beaucoup Ă  la synthĂšse entre art wisigoth et arabe notamment l'utilisation de l'arc outrepassĂ©.A savoirA la fin du XIIe siĂšcle, l'Islam domine encore le tiers de la pĂ©ninsule ibĂ©rique Ă  Las Navas de Tolosa en 1212, la victoire des royaumes chrĂ©tiens contre les principautĂ©s musulmanes issues de la dissolution du califat de Cordoue en 1031 amorce la reconquĂȘte Reconquista du sud de la pĂ©ninsule. Cordoue est prise en 1236, Valence en 1238 et SĂ©ville en 1248. En 1266, les musulmans conservent uniquement le royaume de Grenade qui rĂ©siste jusqu'en janvier 1492 l'Ă©mir Boabdil remet sa principautĂ© aux rois catholiques Isabelle de Castille et Ferdinand d' par ce que vous venez de lire ?
La carte des rĂ©gions d'Espagne vous permet de dĂ©couvrir les 17 communautĂ©s autonomes (ou rĂ©gions), ayant chacune sa capitale et son propre gouvernement. Chaque rĂ©gion d'Espagne est elle-mĂȘme constituĂ©e d'une ou plusieurs provinces. L e climat et les paysages sont souvent bien diffĂ©rents d'une rĂ©gion l'une autre.

La cĂŽte atlantique espagnole tout au nord du pays attire moins de monde plutĂŽt des espagnols, des anglais venant en ferry et quelques français. Elle n’est pas envahie de boĂźtes de nuit et de enfants hurlant sur les plages. Les cĂŽtes ici sont sauvages criques, rochers, baies superbes, le coĂ»t des vacances peu Ă©levĂ©, les plages plus belles, les activitĂ©s sportives variĂ©es grĂące aux montagnes et Ă  l’ocĂ©an
 Les cĂŽtes ouest et nord de l’Espagne sont baignĂ©es par les eaux du golfe de Gascogne et de l’ocĂ©an Atlantique. Ces endroits sont incroyablement pittoresques. Il existe de nombreuses plages complĂštement dĂ©sertes de sable blanc. Les rĂ©gions de vacances les plus populaires du nord de l’Espagne sur la cĂŽte atlantique sont la Galice, la Costa Verde ou les Asturies et la Cantabrie. La Galice est une communautĂ© autonome avec un statut de nation historique nacionalidade histĂłrica en galicien. Elle est entourĂ©e par la principautĂ© des Asturies, la Castille-et-LeĂłn, le Portugal, l’ocĂ©an Atlantique et la mer Cantabrique. La Galice se compose de quatre provinces La Corogne, Lugo, Ourense et Pontevedra. Saint-Jacques-de-Compostelle Santiago de Compostela, cinquiĂšme ville galicienne par sa population, situĂ©e dans la province de La Corogne, est la capitale politique de la communautĂ© autonome et ville la plus importante de la rĂ©gion. Les stations balnĂ©aires les plus populaires de Galice sont Ribadeo, Baiona, Vivero, O Grove, Carino, Ortigueira, Mino, Santa Eugenia de Riveira, Sanxenxo, Cangas, La Toja – elles s’étendent le long de la cĂŽte sur mille trois cents kilomĂštres et sont cĂ©lĂšbres pour leurs plages. NĂ©anmoins, le principal centre de tourisme balnĂ©aire de Galice est situĂ© dans la ville de Sanxenxo, prĂšs de l’ancienne ville de Pontevedra. La principautĂ© des Asturies en espagnol Principado de Asturias ; en asturien PrincipĂĄu d’Asturies est une communautĂ© autonome uniprovinciale d’Espagne. Elle a obtenu le statut de principautĂ© lorsque l’hĂ©ritier de la couronne d’Espagne a obtenu le titre de prince des Asturies. Sa capitale est la ville d’Oviedo. La gastronomie peut parfois s’apparenter Ă  la cuisine normande ou bretonne. Le plat le plus caractĂ©ristique est la “fabada”, ragoĂ»t Ă  base de haricots blancs, accompagnĂ©s de chorizo, de morcilla, et de tocino, sorte de bacon. Un autre plat typique est “l’empanada asturiana”. Il existe plus d’une dizaine de fromages artisanaux. Le “cabrales”, fromage fort Ă  pĂąte persillĂ©e Ă©laborĂ© avec du lait cru de vache ou avec un mĂ©lange de deux ou trois sortes de lait, en est le plus connu. La boisson typique est la “sidra” cidre. La Cantabrie appartient Ă  la corniche cantabrique, nom qui dĂ©signe la bande de terre entre le golfe de Gascogne mer Cantabrique au nord et la cordillĂšre Cantabrique au sud. La cĂŽte C’est une frange cĂŽtiĂšre formĂ©e de vallĂ©es basses, vastes, aux formes douces, d’une dizaine de kilomĂštres de large et dont l’altitude ne dĂ©passe gĂ©nĂ©ralement pas les 500 m. La transition vers la mer est assurĂ©e par des falaises abruptes interrompues par les embouchures de riviĂšres qui ont donnĂ© naissance Ă  des rias et Ă  des plages. La baie de Santander fait partie de cet ensemble bordĂ© au sud par la zone montagneuse. La montagne Il s’agit d’une longue barriĂšre de montagnes abruptes parallĂšles Ă  la mer et qui appartiennent Ă  la cordillĂšre Cantabrique. Majoritairement composĂ©e de roche calcaire affectĂ©e par des phĂ©nomĂšnes karstiques, la montagne couvre la plus grande partie de la rĂ©gion. Les vallĂ©es du sud Le climat plus continental permet le dĂ©veloppement du chĂȘne tauzin dont l’extension est facilitĂ©e par l’abandon de terres agricoles. Des pins sylvestres ont Ă©tĂ© rĂ©implantĂ©s sur les pentes douces de la zone.

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  • carte de l espagne avec les provinces