Enretour, la coopĂ©rative n’est pas en droit d’acheter des fournitures liĂ©es aux enseignements obligatoires (manuels, tables, chaises, cahiers) dont la dĂ©pense incombe lĂ©galement Ă  la mairie. Que peut donc financer la coopĂ©rative scolaire ? Nous vous proposons d'emprunter des jeux coopĂ©ratifs le parachute coopĂ©ratif du Cycle 1 au Cyle 3 " Le mouvement circulaire, ensemble qui tient Ă  la fois de la marche, de la danse et de la chorĂ©graphie, renforce la cohĂ©sion du groupe alterner des jeux de parachute en dĂ©but d’annĂ©e scolaire avec des jeux coopĂ©ratifs basĂ©s sur l’écoute et la confiance permet de constituer un certain Ă©tat d’esprit coopĂ©ratif Ă  Ă©tablir pour apprendre tous ensemble et non pas les uns en compĂ©tition avec les autres. C’est un des prĂ©alables pour instaurer dans une classe ou un groupe une vĂ©ritable pĂ©dagogie coopĂ©rative. " Alain JOFFRE, ancien directeur d'Ă©cole et animateur dĂ©partemental OCCE 07 Voici un dossier " Jeux de parachute " proposĂ© par l'OCCE 75 Nombre de parachute disponible 1 20 joueurs le visiocoop du Cyle 2 au Cycle 3 Par Ă©quipe, dont le manipulateur a les yeux bandĂ©s, les enfants ont Ă  reproduire en 3 dimensions une structure gĂ©omĂ©trique avec des Ă©lĂ©ments de bois. Les modĂšles sont en photo sur des cartes dont les nombres de 3 Ă  8 indiquent la difficultĂ© et le nombre de piĂšces Ă  utiliser. Il est possible de fixer un temps maximum pour rĂ©aliser la structure ou de chronomĂ©trer et comparer la vitesse d’exĂ©cution de 2 vite, les enfants perçoivent que l’intĂ©rĂȘt principal est l’entraide entre eux au sein de l’équipe qui les oblige Ă  trouver un mode de communication orale adaptĂ©. En effet, ils s’aperçoivent que parler Ă  un aveugle c'est-Ă -dire sans geste tout en lui expliquant des gestes Ă  faire et Ă  coordonner n’est pas si simple qu’il n’y paraĂźt... Nombre d’exemplaires disponibles 7 le crayon coop du Cyle 1 au Cyle 3 Tirez les ficelles pour diriger un crayon et laissez libre cours Ă  votre imagination parcourez un circuit, rĂ©solvez un labyrinthe, rĂ©alisez un dessin choisi, etc. Le support de crayon ou marqueur ou craie... est Ă©quipĂ© de ficelles permettant Ă  plusieurs personnes d'exĂ©cuter un dessin avec concentration, coopĂ©ration et adresse. Le support a la forme d’une toupie auquel peuvent ĂȘtre accrochĂ©es jusqu'Ă  10 ficelles 20 ficelles pour un jeu qui seront tendues chacune par un participant. Les joueurs doivent se coordonner pour reproduire des modĂšles sur une surface horizontale. On peut jouer en parlant ou... en silence. RĂšgle en vidĂ©o Nombre d’exemplaires disponibles 3 10 joueurs la tour de Froebel du cycle 2 au cycle 3 Dans le mĂȘme principe que le crayon coop, sans entente et coopĂ©ration, impossible de monter cette tour ! Nombre d’exemplaire disponible 1 de 2 Ă  10 joueurs Des plateaux de jeux d'Ă©checs Nombre d'exemplaires disponibles 4 le classeur de jeux coopĂ©ratifs OCCE est disponible sur le site de la FĂ©dĂ©ration OCCE Nous vous proposons donc de rĂ©server un/des jeux pour une pĂ©riode via ce formulaire nous vous contacterons une fois votre demande reçue pour convenir d'un rendez-vous.
Lesprojets pédagogiques. Les ressources de la coopérative scolaire sont variées : cotisation des parents, bénéfices tirés de l'organisation d'événements (tombola, kermesse, vente d'objets réalisés en classe), subventions éventuelles des communes. Ce budget vient en complément des ressources dont dispose l'école.
ï»żL’école en France est laĂŻque et gratuite. Sauf si vos enfants sont inscrits dans un Ă©tablissement privĂ©, on ne peut en aucun cas solliciter financiĂšrement les familles. Petit point pour mettre les choses au clair avec ValĂ©rie Piau, avocate en droit de l’éducation, et auteure du Guide Piau – Les droits des Ă©lĂšves et des parents d’élĂšves. CoopĂ©rative scolaire En dĂ©but d’annĂ©e, en primaire en particulier, on sollicite souvent les parents pour participer Ă  la coopĂ©rative scolaire. De l’argent qui sera normalement utilisĂ© en cours d’annĂ©e pour aider l’enseignant Ă  monter ou Ă  conduire un projet de classe. Attention votre contribution Ă  la coopĂ©rative scolaire n’est aucunement obligatoire. La coopĂ©rative n’est pas due. On ne peut solliciter financiĂšrement les familles », rappelle ValĂ©rie Piau. A chacun, donc, de dĂ©cider s’il souhaite contribuer ou pas, en fonction de ses moyens. Et sachez que si vous ne contribuez pas Ă  la coopĂ©rative, cela ne pĂ©nalisera en rien votre enfant. Achats de rentrĂ©e Vous rĂ©cupĂ©rez chaque annĂ©e une liste plus ou moins longue de fournitures scolaires demandĂ©es par les enseignants pour la rentrĂ©e. Et parfois, certains incitent Ă  acheter des marques de fournitures en particulier la calculatrice de telle marque, ou les feutres de telle autre. Et bien sachez que de telles pratiques sont totalement interdites. L’Education nationale a une circulaire stipulant que les enseignants ont interdiction de demander des fournitures de marques, mĂȘme si en pratique ils le font », prĂ©cise bien ValĂ©rie Piau. Sinon, c’est privilĂ©gier les intĂ©rĂȘts mercantiles d’une sociĂ©tĂ© privĂ©e. C’est une maniĂšre de faire de la pub pour une sociĂ©tĂ© privĂ©e en proposant aux Ă©lĂšves de consommer, sans qu’il y ait eu appel d’offres ». Donc Ă  vous seuls de dĂ©cider des produits de marques que vous voudrez bien acheter. Et votre enfant ne pourra certainement pas ĂȘtre sanctionnĂ© ou pĂ©nalisĂ© s’il n’a pas scrupuleusement achetĂ© les produits de marques qui se seraient malencontreusement glissĂ©e dans la liste des fournitures. Abonnements presse ou Ă©diteurs En primaire, on propose rĂ©guliĂšrement aux parents d’abonner leur enfant Ă  un quotidien ou de recevoir des albums jeunesse de maniĂšre rĂ©guliĂšre. LĂ  encore, c’est une pratique courante, mais pas normale au sein de l’école. Si l’enseignant incite les Ă©lĂšves Ă  s’abonner, il y a une sorte de pression morale », selon ValĂ©rie Piau. Les parents ne souhaitant pas abonner leur enfant peuvent en effet ĂȘtre amenĂ©s Ă  se culpabiliser, selon la façon dont on leur propose la chose. ValĂ©rie Piau insiste toute sollicitation financiĂšre est interdite. Et de surcroĂźt, ne proposer qu’un seul Ă©diteur, qui se retrouve ainsi en situation de monopole, pause un questionnement par rapport Ă  la sollicitation des familles et Ă  l’absence de choix ». MĂȘme si un quotidien d’information peut ĂȘtre utilisĂ© dans le cadre du travail en classe, ça reste une offre commerciale ». ActivitĂ©s scolaires Peut-on solliciter financiĂšrement les parents pour contribuer aux frais de piscine, d’une pratique sportive ou artistique au sein de l’école ou de la classe ? LĂ  encore, la rĂ©ponse est non. On ne peut demander de participation ni pour l’autocar, ni pour la piscine, 
 », affirme ValĂ©rie Piau. Ces frais inhĂ©rents Ă  un enseignement disciplinaire faisant partie d’un programme scolaire sont entiĂšrement pris en charge par le budget de fonctionnement de l’établissement scolaire Ă  partir du moment oĂč il s’agit d’enseignements obligatoires pendant le temps scolaire. Sorties et voyages scolaires Les Ă©tablissements organisent chaque annĂ©e des sorties scolaires. Voire mĂȘme des voyages scolaires classe dĂ©couverte, classe verte, classe de neige ou autres sĂ©jours Ă  l’étranger en immersion dans des familles d’accueil. Des sorties et voyages qui ont un coĂ»t, que tous les parents ne peuvent pas se permettre. Il ne faut en aucun cas que les enfants soient privĂ©s d’une sortie parce que les parents ne sont pas Ă  mĂȘme de payer », affirme ValĂ©rie Piau. Par contre, on est en droit de demander une participation financiĂšre aux parents si ces activitĂ©s ont lieu en dehors des heures scolaires », prĂ©cise l’avocate. Dans tous les cas, si l’argent est un frein pour un voyage ou une sortie scolaire, il y a des aides financiĂšres qui doivent ĂȘtre donnĂ©es par l’établissement », prĂ©cise ValĂ©rie Piau. L’établissement est sensĂ© prĂ©voir un systĂšme d’aides pour Ă©viter qu’il y ait discrimination par l’argent. Si on ne vous le propose pas automatiquement, n’hĂ©sitez pas Ă  rencontrer le chef d’établissement ou Ă  Ă©crire Ă  l’inspection acadĂ©mique pour exposer votre situation. Pour contacter ValĂ©rie Piau Le guide Piau – Les droits des parents d’élĂšves et des Ă©lĂšves, par ValĂ©rie Piau, aux Editions L’Etudiant, 22,92 €. Commander Vous avez aimĂ© cet article ou bien vous voulez rĂ©agir ? Articles en relation LacoopĂ©rative scolaire ne peut vendre que quelque chose qui lui appartient. Dans le cas de la photographie scolaire, la coopĂ©rative doit donc d’abord commander et acheter les tirages au photographe (elle en devient alors propriĂ©taire) pour ensuite les revendre Ă  ses membres (les parents). Sur le plan lĂ©gal toujours, la solution de la plateforme internet pose le problĂšme de la Que peut-on financer avec la coopĂ©rative ? Accueil Que peut-on financer avec la coopĂ©rative ? A quoi sert une coopĂ©rative scolaire ? Que peut donc financer la coopĂ©rative scolaire ? A quoi sert une coopĂ©rative scolaire ? Depuis les lois de Jules Ferry qui ont instituĂ© l’école, Celle-ci n’a aucune personnalitĂ© ni autonomie juridique. C’est donc Ă  la mairie que revient l’obligation de faire fonctionner son Ă©cole. De ce fait, toutes les charges inhĂ©rentes Ă  l’entretien du bĂątiment doivent ĂȘtre payĂ©es par la mairie eau, Ă©lectricitĂ©, chauffage, entretien des locaux, etc. De plus, l’école Ă©tant gratuite et obligatoire, les mairies ont aussi l’obligation d’assumer les charges liĂ©es aux enseignements obligatoires tels que dĂ©finis par le MinistĂšre de l’Education nationale cahiers, crayons, manuels, cartouches d’imprimantes, pharmacie, 
 doivent ĂȘtre payĂ©s sur les crĂ©dits scolaires. Enfin, la loi du 23 fĂ©vrier 1963 dĂ©finit la Gestion de fait » il s’agit de la manipulation de fonds publics par une personne n’ayant pas la capacitĂ© de comptable public ». En termes clairs, il est interdit Ă  une personne autre qu’un comptable public le Percepteur ou le TrĂ©sorier-payeur gĂ©nĂ©ral par exemple de collecter des recettes ou d’engager des dĂ©penses dont l’obligation revient Ă  une entitĂ© publique. En consĂ©quence, les crĂ©dits scolaires ne peuvent en aucun cas ĂȘtre gĂ©rĂ©s par une autre entitĂ© que la mairie. A l’inverse, aucune entitĂ© ne peut se substituer Ă  la mairie pour gĂ©rer Ă  sa place des dĂ©penses ou des recettes dont l’obligation revient Ă  la mairie. Pour exemples, une municipalitĂ© n’est pas endroit de verser une subvention pour entretien du photocopieur », ou de dĂ©lĂ©guer Ă  la coopĂ©rative scolaire le paiement de la pharmacie de l’école. En retour, la coopĂ©rative n’est pas en droit d’acheter des fournitures liĂ©es aux enseignements obligatoires manuels, tables, chaises, cahiers dont la dĂ©pense incombe lĂ©galement Ă  la mairie. Que peut donc financer la coopĂ©rative scolaire ? La coopĂ©rative scolaire a pour objet de servir de support financier et assurantiel aux activitĂ©s et projets facultatifs proposĂ©s par l’équipe enseignante aux Ă©lĂšves, ou par les Ă©lĂšves lors d’un conseil de coopĂ©rative. Le terme facultatif peut ĂȘtre dĂ©fini de plusieurs façons - l’activitĂ© ou le projet n’entre pas dans le cadre des programmes dĂ©finis par le MinistĂšre de l’Education nationale, mais reprĂ©sente un rĂ©el intĂ©rĂȘt pĂ©dagogique pour les Ă©lĂšves. Il peut donc ĂȘtre initiĂ© par les enseignants sous rĂ©serve de la compatibilitĂ© avec les prescriptions lĂ©gales de l’Education nationale, comme par exemple une sortie Ă  la demi-journĂ©e ; - l’activitĂ© ou le projet est totalement ou partiellement payant, ce qui va Ă  l’encontre du principe de gratuitĂ© de l’école publique ; dĂšs lors, le projet est soumis Ă  l’approbation des parents en tant que payeurs ; l’exemple-type est la sortie Ă  la demi-journĂ©e avec participation financiĂšre des parents ; - l’activitĂ© ou le projet dĂ©borde des horaires de l’école dĂ©finis par la Mairie et l’IEN, auquel cas l’approbation des parents est indispensable. Si l’une au moins de ces trois conditions est avĂ©rĂ©e, le projet devient facultatif et peut ĂȘtre mis en place sous l’égide et la responsabilitĂ© de la coopĂ©rative scolaire. Notons aussi que dĂšs lors qu’un projet dĂ©passe le temps de la journĂ©e et que des nuitĂ©es sont envisagĂ©es avec les Ă©lĂšves, il ne relĂšve plus de l’autorisation du directeur de l’école, mais doit ĂȘtre soumis Ă  l’approbation de l’Education nationale. Si la coopĂ©rative scolaire est organisateur de tels projets, elle engage sa responsabilitĂ© et doit donc disposer d’un contrat d’assurance solide. Toute coopĂ©rative doit donc souscrire un contrat d’assurance ; il engage la responsabilitĂ© des dirigeants de l’association. Pour les coopĂ©ratives affiliĂ©es Ă  l’OCCE, un contrat unique est souscrit auprĂšs de la MAIF pour tous ses adhĂ©rents. Attention une coopĂ©rative autonome qui ne disposerait pas d’un agrĂ©ment de la DSDEN peut se voir refuser la mise en Ɠuvre du contrat, mĂȘme s’il a Ă©tĂ© signĂ© en bonne et dĂ»e forme, au motif que le fonctionnement n’était pas agréé par les services de l’Education nationale et que l’activitĂ© ayant créé le sinistre n’aurait pas dĂ» ĂȘtre pratiquĂ©e. La responsabilitĂ© civile et pĂ©nale doit alors ĂȘtre assumĂ©e Ă  titre personnel par les dirigeants de la coopĂ©rative scolaire dĂ©clarĂ©s en PrĂ©fecture et la rĂ©paration des prĂ©judices leur incombe Ă  titre personnel.
CettetĂąche consiste Ă  jouer Ă  un jeu qui amĂšnera les Ă©lĂšves Ă  constater que l’argent circule, qu’il se gagne en travaillant, qu’il s’épargne et qu’il s’emprunte. Instructions. Pour jouer avec toute la classe, former 4 ou 5 Ă©quipes. Il est aussi possible de
Actions pĂ©dagogiques Accueil Actions pĂ©dagogiques Education citoyenne L'OCCE,en plus de vous aider dans la gestion de la coopĂ©rative, vous propose des actions nationales, rĂ©gionales et dĂ©partementales. N'hĂ©sitez pas Ă  prendre contact avec l'animatrice pĂ©dagogique, Sandrine Ventura Horta, au 06 75 56 50 37 ou ad77 pour obtenir des informations. Toutes Education citoyenne Art et culture Lire et Ă©crire Culture scientifique Autre Action nationale SESSE valorisation de l'Economie Sociale & Solidaire Une action en partenariat avec l'ESPER et L’OCCE propose aux Ă©lĂšves de s’impliquer Ă  l’occasion de la Semaine de l’ESS Ă  l’Ecole. Plus de dĂ©tails Action nationale ATELIERS PHILO LA PHILOSOPHIE DÈS L'ÉCOLE Philosopher dĂšs l'Ă©cole, c'est possible avec l'OCCE ! AccompagnĂ©e de nos Ă©quipes pĂ©dagogiques - encadrĂ©e et outillĂ©e - cette pratique est envisageable dĂšs l'Ă©cole maternelle. Plus de dĂ©tails Action nationale CAUSE DES ENFANTS PROMOTION DE LA CIDE Installez les Droits de l'Enfant Ă  l'Ă©cole et la Convention Internationale des Droits de l'Enfant. Plus de dĂ©tails Que faire Ă  la fin de l'annĂ©e scolaire ? BientĂŽt la fin de l'annĂ©e et il est temps de finaliser les projets, mais Ă©galement la coopĂ©rative. Voici ce qu'il faut faire... On peut... ou pas ? Que peut-on acheter/vendre avec l'argent de la coop ? Les actions proposĂ©es par l'OCCE 77 Vous souhaitez connaĂźtre les actions pĂ©dagogiques proposĂ©es par l'OCCE 77, c'est par ici !! Que peut-on emprunter Ă  l'OCCE 77 ? Des malles de livres, des jeux... ?!!
LacoopĂ©rative scolaire est une association qui permet de financer des projets Ă©ducatifs ou des actions de solidaritĂ© (fĂȘtes de l'Ă©cole, kermesse, spectacle par exemple). La participation des parents au financement de la coopĂ©rative scolaire d'un
Que peut-on acheter avec la coopĂ©rative scolaire Office Central de la CoopĂ©ration Ă  l’Ecole Association 1901 reconnue d’utilitĂ© publique Association dĂ©partementale OCCE du Loiret, 18 boulevard Carnot 45150 JARGEAU Tel 02 38 86 05 71 - Fax 02 38 86 05 71 - Courriel [email protected] Site Internet QUELLES DÉPENSES PEUT-ON FAIRE AVEC L’ARGENT DE LA COOPÉRATIVE SCOLAIRE ? 1 L’argent Ă  l’école  Financement mairie Le fonctionnement de l’école Frais structurels locaux, entretien, sĂ©curitĂ©, meubles, Ă©lectricitĂ©, chauffage, tĂ©lĂ©phone, fax, internet
 Frais de personnel agents communaux
 Frais pĂ©dagogiques MatĂ©riel pĂ©dagogique collectif, fournitures individuelles, fonctionnement de l’école  Financement Éducation Nationale Enseignants Projets spĂ©cifiques classes Ă  PAC
 La coopĂ©rative scolaire n’a pas pour but de se substituer aux obligations des collectivitĂ©s territoriales concernant les charges d’entretien et de fonctionnement des Ă©coles publiques. Elle ne doit contribuer ni Ă  la rĂ©alisation de travaux, ni Ă  la location ou l’achat de moyens d’enseignement photocopieur, manuels ou fournitures scolaires, ni au financement des activitĂ©s obligatoires. 2 La gratuitĂ© pour les familles Les activitĂ©s obligatoires ou les activitĂ©s facultatives? 2 principes directeurs  Tout ce qui se passe pendant le temps scolaire est obligatoire.  Tout ce qui se dĂ©borde » du temps scolaire est facultatif. Page 1 sur 6 Office Central de la CoopĂ©ration Ă  l’Ecole Association 1901 reconnue d’utilitĂ© publique Association dĂ©partementale OCCE du Loiret GratuitĂ© pour les familles  Tout ce qui est obligatoire doit ĂȘtre gratuit pour les familles  Ce qui est facultatif peut donner lieu Ă  une participation des familles ATTENTION nul Ă©lĂšve ne peut ĂȘtre exclu pour des raisons de non participation financiĂšre. 3 L’adhĂ©sion Ă  la coopĂ©rative scolaire Tous les Ă©lĂšves de la classe sont coopĂ©rateurs  La dĂ©cision d’adhĂ©rer Ă  l’OCCE relĂšve du ou des enseignants.  Une fois la dĂ©cision prise, tous les enfants de la classe deviennent coopĂ©rateurs mĂȘme ceux qui ne payent pas l’adhĂ©sion  Chaque coopĂ©rative paie Ă  l ’OCCE une cotisation, actuellement, de 1,30 € par coopĂ©rateurs Ă©lĂšves + enseignant  L’adhĂ©sion donne droit Ă  l’assurance pour tous les membres de la coopĂ©rative scolaire. 0,25 €par personne  La coopĂ©rative organise des activitĂ©s qui concernent tous les Ă©lĂšves L’esprit La coopĂ©ration scolaire est dĂ©finie d'abord comme " un regroupement d’adultes et d’élĂšves qui dĂ©cident de mettre en Ɠuvre un projet Ă©ducatif s’appuyant sur la pratique de la vie associative et coopĂ©rative" circulaire 2008-095 du 23/07/2008. Le but des coopĂ©ratives scolaires est, avant tout, d'Ă©duquer les Ă©lĂšves, par l'apprentissage de la vie associative et la prise de responsabilitĂ©s rĂ©elles en fonction de leur Ăąge, Ă  leur futur rĂŽle de citoyens. La coopĂ©rative, c'est l'Ă©ducation citoyenne en actes et cet objectif dĂ©passe largement les problĂšmes financiers auxquels elle est trop souvent rĂ©duite.  Deux principes fondamentaux - contribuer Ă  dĂ©velopper la coopĂ©ration entre les membres de la communautĂ© Ă©ducative Page 2 sur 6 Office Central de la CoopĂ©ration Ă  l’Ecole Association 1901 reconnue d’utilitĂ© publique Association dĂ©partementale OCCE du Loiret adulte et enfants - favoriser au maximum la participation effective directe des Ă©lĂšves Ă  la gestion financiĂšre de leur coopĂ©rative, tout en les initiant Ă©galement Ă  la dĂ©mocratie reprĂ©sentative puisque, par l'intermĂ©diaire de leurs dĂ©lĂ©guĂ©s, ils participeront Ă  la gestion de la coopĂ©rative d'École ou d'Établissement. 4 Difficile distinction entre activitĂ© scolaire et activitĂ© coopĂ©rative La diffĂ©renciation est dĂ©licate entre activitĂ©s coopĂ©ratives et activitĂ©s scolaires. A l’origine, l’action des coopĂ©ratives se situait en accompagnement des projets des enseignants et souvent en dehors du temps scolaire. Le ramassage des plantes mĂ©dicinales effectuĂ© le jeudi, l’entretien du potager que l’on effectuait en sortant de la classe permettaient de dĂ©gager les ressources nĂ©cessaires Ă  la rĂ©alisation des projets de la classe ou de lĂ©cole Ă©quipement de la bibliothĂšque, sortie... Par la suite, plusieurs circulaires de l’Éducation Nationale vont modifier l’objet des coopĂ©ratives scolaires et faire entrer les coopĂ©ratives scolaires et leurs objectifs Ă©ducatifs dans l’École objectifs d’éducation Ă  la citoyennetĂ©, pĂ©dagogie de projet
 Ă  tel point qu’aujourd’hui, il n’est plus possible de diffĂ©rencier une activitĂ© organisĂ©e par la coopĂ©rative scolaire d’une activitĂ© scolaire ordinaire organisĂ©e dans le cadre normal de l’École et de ses programmes. Pourtant, la diffĂ©rence existe. Mais la classification est dĂ©licate car elle nĂ©cessite une observation fine - de l’organisation pĂ©dagogique - du statut de l’élĂšve - du statut de l’enseignant - de la place que tiennent les Ă©lĂšves dans l’activitĂ© - des structures de rĂ©gulation existantes dans la classe -
 Page 3 sur 6 Office Central de la CoopĂ©ration Ă  l’Ecole Association 1901 reconnue d’utilitĂ© publique Association dĂ©partementale OCCE du Loiret 5 Et alors, que faire ? On peut rĂ©sumer en ces termes L’ARGENT INSTITUTIONNEL au service de la MISSION EDUCATIVE L’ARGENT ASSOCIATIF au service du PROJET AVEC les enfants et POUR les enfants 6 Un peu de concret, quand mĂȘme AUTORISE - Les produits ou charges des activitĂ©s Ă©ducatives dans le cadre des projets de la coopĂ©rative, Ă  noter dans le cahier de dĂ©cision de la coopĂ©rative - Les charges d’assurance des biens de la coopĂ©rative biens payĂ©s par la coopĂ©rative, des activitĂ©s de la coopĂ©rative - Les cotisations, les participations dans le cadre d’actions de solidaritĂ© - Les participations financiĂšres des familles - Les produits ou charges courants touchant au fonctionnement de la coopĂ©rative - La redevance tĂ©lĂ©vision si la tĂ©lĂ©vision appartient Ă  la coopĂ©rative Seules les Ă©coles bĂ©nĂ©ficient d’une exonĂ©ration - Les produits de la vente de croissants, pains au chocolat
 dans le cadre d’un projet et non dans le cadre d’un financement de fonctionnement La coopĂ©rative pourrait alors ĂȘtre condamnĂ©e pour concurrence dĂ©loyale envers les professionnels - Les produits de la vente de kermesse, fĂȘte
 - Les perceptions de dons NON AUTORISE - Les achats Ă  crĂ©dit ou en leasing tout engagement pluriannuel - Le versement de salaires La coopĂ©rative scolaire ne peut pas ĂȘtre employeur - Les frais d’affranchissement, de tĂ©lĂ©phone
 Page 4 sur 6 Office Central de la CoopĂ©ration Ă  l’Ecole Association 1901 reconnue d’utilitĂ© publique Association dĂ©partementale OCCE du Loiret - Les recettes provenant d’actions commerciales n’ayant rien de pĂ©dagogique - La gestion de la cantine, garderie ou Ă©tude - La gestion des crĂ©dits communaux destinĂ©s Ă  financer les fournitures scolaires - Le reversement d’une subvention perçue par la coopĂ©rative Ă  une autre association le reversement est autorisĂ© Ă  une autre coopĂ©rative - Les actions de dĂ©marchage ayant pour effet ou pour objet de procurer des bĂ©nĂ©fices de façon directe ou indirecte Ă  un commerçant ou Ă  une entreprise 7 Exemples et questions courantes. La question Quelles dĂ©penses peut-on faire avec l’argent de la coopĂ©rative scolaire ? » ne trouve pas de rĂ©ponse claire et nette, mais chaque achat est Ă  rĂ©flĂ©chir en rĂ©fĂ©rence Ă  l’esprit, au but, aux principes de la coopĂ©rative scolaire. - Achat d’une cafetiĂšre Pas vraiment au service du projet avec les enfants et pour les enfants Absolument interdit. - Achat d’un guide du maĂźtre qui reste Ă  l’école bien sĂ»r Oui, si le guide du maĂźtre a pour but d’aider l’enseignant Ă  mettre en Ɠuvre un projet Ă©manant du conseil de coopĂ©rative. Non pour l’achat d’un guide du maĂźtre ou d’un fichier Ă©lĂšve destinĂ© Ă  la mise en Ɠuvre des sĂ©ances d’aide individualisĂ©e puisqu’il ne s’agit pas d’une activitĂ© coopĂ©rative. - CD pour prĂ©parer un concert ou rĂ©pertoire dĂ©partemental. ActivitĂ© scolaire ou coopĂ©rative ? PlutĂŽt oui pour le financement coopĂ©ratif. - CD Lecture RelĂšve plus du projet d’école Le diagnostic fait apparaitre que x% d’élĂšves ont des difficultĂ©s de lecture, donc nous mettons en place une action forte sur la lecture avec achat de matĂ©riel pour la mener Ă  bien. Page 5 sur 6 Office Central de la CoopĂ©ration Ă  l’Ecole Association 1901 reconnue d’utilitĂ© publique Association dĂ©partementale OCCE du Loiret Si un travail sur Comment aider les Ă©lĂšves en difficultĂ© ? » est menĂ© en conseil de coopĂ©rative, les actions proposĂ©es vont concerner la pratique mise en place du tutorat sur le CD lecture
 mais ne vont pas concerner l’achat, qui relĂšve d’une dĂ©cision de l’enseignant. - Du matĂ©riel informatique dans le cadre d’un projet coopĂ©ratif uniquement. CrĂ©er un journal scolaire, avoir un projet vidĂ©o nĂ©cessitant tel type de logiciel pour le montage, etc. il est hors de question d’équiper l’école en postes informatiques parce que les exigences du B2I vous l’imposent. Dans ce cas il s’agit d’équipement pĂ©dagogique financĂ© par la mairie, fourni par l’IA, le conseil gĂ©nĂ©ral... En cas de don d’ordinateurs par des parents, une entreprise, si la coopĂ©rative l’accepte, elle en est propriĂ©taire, doit en assurer l’assurance et la maintenance. Le matĂ©riel fourni par les collectivitĂ©s ou l’IA reste leur propriĂ©tĂ© bon Ă  savoir en cas de vol, dĂ©gradation, maintenance.... Du matĂ©riel d’arts plastiques pour rĂ©alisation d’une fresque. Ce matĂ©riel y compris un chevalet rĂ©pond au critĂšre du financement par la coopĂ©rative, s’agissant d’un projet concernant et impliquant tous les Ă©lĂšves d’une classe. - - Du matĂ©riel de cour des petits Ă©quipements favorisant les activitĂ©s coopĂ©ratives ou visant Ă  dĂ©velopper le vivre ensemble » OUI Des structures fixĂ©es au sol doivent ĂȘtre achetĂ©es par les mairies ou SIIS problĂšme de responsabilitĂ©, d’entretien et de conformitĂ©. - Des livres pour Ă©quiper la BCD. OUI Pour tout cas particulier non Ă©voquĂ© ici ou pour des prĂ©cisions, contactez l’OCCE 45. 02 38 86 05 71 Page 6 sur 6 Doiton ĂȘtre Ă©tudiant pour acheter dans une coop en milieu scolaire ? Non, toute personne qui le dĂ©sire peut acheter dans une coopĂ©rative. Cependant, pour bĂ©nĂ©ficier d’avantages et de rĂ©ductions, il faut en ĂȘtre membre. Pour devenir membre, il suffit de remplir les conditions fixĂ©es par la coopĂ©rative. Pour en savoir davantage, nous Enseignements Ă©lĂ©mentaire et secondaire VIE SCOLAIRECoopĂ©rative scolaireNOR MENE0800615C RLR 555-2 CIRCULAIRE N° 2008-095 DU 23-7-2008 MENDGESCO B2-3Texte adressĂ© aux rectrices et recteurs d’acadĂ©mie ; aux inspectrices et inspecteurs d’acadĂ©mie, directrices et directeurs des services dĂ©partementaux de l’éducation nationale ; aux chefs d’établissement ; aux directrices et directeurs d’école Les coopĂ©ratives scolaires occupent une place spĂ©cifique dans l’histoire de l’école. NĂ©es au lendemain de la PremiĂšre guerre mondiale, elles ont contribuĂ© Ă  son la plupart des Ă©coles primaires et un grand nombre d’établissements du second degrĂ©, d’établissements spĂ©cialisĂ©s ou d’IUFM, peuvent s’appuyer sur une coopĂ©rative scolaire pour dĂ©velopper leur action prĂ©sente circulaire, en clarifiant les rĂšgles de fonctionnement de ces structures associatives et en rappelant les principaux objectifs des activitĂ©s organisĂ©es en leur sein, doit permettre Ă  l’ensemble des partenaires concernĂ©s, en premier lieu les enseignants, de mieux apprĂ©hender le rĂŽle des coopĂ©ratives scolaires, dans la perspective d’une Ă©ducation des Ă©lĂšves Ă  la citoyennetĂ©. I - La rĂ©glementation et le fonctionnement des coopĂ©ratives scolaires A. Le cadre juridiqueLa coopĂ©rative scolaire est un regroupement d’adultes et d’élĂšves qui dĂ©cident de mettre en Ɠuvre un projet Ă©ducatif s’appuyant sur la pratique de la vie associative et coopĂ©rative. La crĂ©ation d’une association indĂ©pendante ou d’une section locale affiliĂ©e Ă  l’OCCE relĂšve du choix de ses coopĂ©ratives scolaires revĂȘtent deux formes juridiques distinctes - la coopĂ©rative scolaire constituĂ©e en association autonome, personne morale distincte de l’école ou de l’établissement scolaire, dispose de la capacitĂ© juridique, et doit se conformer aux dispositions de l’article 5 de la loi 1901 dĂ©clarations Ă  la PrĂ©fecture, tenue des registres lĂ©gaux, assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale... et Ă  toute autre disposition lĂ©gale concernant les associations de droit privĂ© dispositions fiscales notamment. Ayant son siĂšge dans l’école ou l’établissement et agissant durant le temps scolaire, dans le cadre d’une convention Ă©tablie avec l’inspection acadĂ©mique ou l’établissement, elle doit se conformer aux principes qui rĂ©gissent le fonctionnement du service public, notamment aux principes de laĂŻcitĂ© et de neutralitĂ©. Les dirigeants de la coopĂ©rative scolaire “loi 1901” assument l’entiĂšre responsabilitĂ© civile et/ou pĂ©nale des fautes commises dans son la coopĂ©rative scolaire affiliĂ©e Ă  l’Office Central de la CoopĂ©ration Ă  l’École OCCE est une section locale de l’association dĂ©partementale OCCE. La coopĂ©rative bĂ©nĂ©ficie du soutien de l’OCCE en matiĂšres Ă©ducative, pĂ©dagogique, juridique et comptable. L’OCCE assume la responsabilitĂ© du fonctionnement des coopĂ©ratives scolaires qui lui sont affiliĂ©es, en dehors des fautes lourdes et intentionnelles ou des infractions dont se seraient rendus responsables les mandataires reprĂ©sentants adultes des coopĂ©ratives scolaires. En contrepartie, elle exige du mandataire, de respecter les obligations que lui impose la dĂ©lĂ©gation de pouvoirs qu’il reçoit de l’association dĂ©partementale respect des statuts, versement de la cotisation, transmission du compte rendu d’activitĂ©s, du bilan financier de la coopĂ©rative.... B. Les principes qui doivent rĂ©gir le fonctionnement des coopĂ©ratives scolaires1. Participation et adhĂ©sion Compte tenu des objectifs Ă©ducatifs poursuivis par la coopĂ©rative scolaire, et du principe de solidaritĂ© qui anime son fonctionnement, la participation aux activitĂ©s de la coopĂ©rative scolaire est ouverte Ă  tous les Ă©lĂšves de l’école ou de l’établissement, qu’ils soient ou non adhĂ©rents. Par ailleurs, les statuts de l’association dĂ©finissent les conditions d’adhĂ©sion Ă  l’association. 2. Financement des coopĂ©ratives scolaires La coopĂ©rative scolaire est dotĂ©e d’un budget propre destinĂ© Ă  financer principalement des projets Ă©ducatifs coopĂ©ratifs ou des actions de solidaritĂ©. Ses ressources proviennent notamment du produit de ses activitĂ©s fĂȘte d’école, kermesse, spectacle... de don et subventions, ainsi que de la cotisation de ses membres. La coopĂ©rative scolaire ne doit en aucun cas se substituer aux obligations des collectivitĂ©s territoriales concernant les charges d’entretien et de fonctionnement des Ă©coles et des Ă©tablissements publics, de mĂȘme qu’elle ne peut gĂ©rer, pour le compte de la commune, du dĂ©partement ou de la rĂ©gion des crĂ©dits qui lui seraient dĂ©lĂ©guĂ©s pour financer des dĂ©penses de fonctionnement. 3. Gestion, transparence et informationQue la coopĂ©rative scolaire soit autonome ou affiliĂ©e Ă  l’OCCE, il est souhaitable que les parents d’élĂšves soient associĂ©s aux dĂ©cisions la concernant et Ă  la mise en Ɠuvre de ses activitĂ©s. Les comptes rendus d’activitĂ©s et financiers seront communiquĂ©s lors des conseils d’école ou des conseils d’administration. Les coopĂ©ratives scolaires autonomes, se doivent, conformĂ©ment Ă  la loi de 1901 sur les associations, de tenir une assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale annuelle. II - Les coopĂ©ratives scolaires un instrument d’éducation Ă  la citoyennetĂ©Les projets dĂ©veloppĂ©s au sein des coopĂ©ratives scolaires, de classe, d’école ou d’établissement, visent Ă  renforcer l’esprit d’initiative, de coopĂ©ration et d’entraide. Ils sont un des supports pĂ©dagogiques les mieux adaptĂ©s Ă  la poursuite des objectifs du socle commun des connaissances et compĂ©tences principalement dans le domaine des compĂ©tences sociales et civiques ainsi que dans celui de l’autonomie et de l’ Projets coopĂ©ratifs de classe, d’école ou d’établissementEn complĂ©ment des programmes et en rĂ©fĂ©rence Ă  la septiĂšme compĂ©tence du socle commun de connaissances et de compĂ©tences “l’autonomie et l’initiative”, les projets coopĂ©ratifs s’inscrivent en cohĂ©rence avec les projets d’école ou d’établissement. Ils doivent permettre la participation effective de tous les Ă©lĂšves Ă  chaque Ă©tape de leur rĂ©alisation. La gestion financiĂšre ne reprĂ©sente pas le seul objectif Ă©ducatif des projets coopĂ©ratifs. Elle constitue cependant un Ă©lĂ©ment important de l’apprentissage de la vie associative et Ă©conomique et de la formation de citoyens responsables. B. Participation des Ă©lĂšves au fonctionnement de la coopĂ©rativeTous les Ă©lĂšves de l’école ou de l’établissement peuvent ĂȘtre membres actifs de la coopĂ©rative. Il serait souhaitable qu’ils participent Ă  son fonctionnement et exercent des responsabilitĂ©s au sein de son bureau en fonction de leur Ăąge et de leur degrĂ© de maturitĂ©. Le suivi de l’activitĂ© de la coopĂ©rative scolaire peut s’effectuer dans le cadre - d’un conseil de coopĂ©rative de classe, qui rĂ©unit rĂ©guliĂšrement les Ă©lĂšves de la classe et l’les enseignants pour la mise en Ɠuvre des projets coopĂ©ratifs. Il peut s’adjoindre les partenaires de la communautĂ© Ă©ducative. - d’un conseil de coopĂ©rative d’école ou d’établissement, qui regroupe les reprĂ©sentants des enseignants, les dĂ©lĂ©guĂ©s des conseils de coopĂ©rative des classes et Ă©ventuellement des partenaires de la communautĂ© prĂ©sente circulaire abroge la circulaire du 10 fĂ©vrier 1948 relative aux coopĂ©ratives scolaires, la circulaire du 16 avril 1951 relative aux coopĂ©ratives scolaires dans les Ă©tablissements du second degrĂ© et la circulaire du 12 dĂ©cembre 1962 relative Ă  la coopĂ©ration scolaire. Pour le ministre de l’éducation nationale et par dĂ©lĂ©gation, Le directeur gĂ©nĂ©ral de l’enseignement scolaireJean Louis NEMBRINI haut de page Ceque peut acheter une coopĂ©rative scolaire Les pratiques commerciales en milieu scolaire sont rĂ©glementĂ©es et, pour certaines, trĂšs nombreuses, interdites aux coopĂ©ratives scolaires. Un exemple prĂ©cis : les achats de produits finis dans le commerce sans transformation rĂ©elle Ă  visĂ©e pĂ©dagogique pour revente « directe » aux familles. Autres exemples : ventes diverses dans l PLBJrB.
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