Laverles prunes, les couper en deux et retirer les noyaux. Mettre dans une casserole avec le sucre et les épices. Porter à frémissement (feu moyen) puis laisser cuire 8 à Cela va faire une bonne dizaine d'années que j'habite à deux pas de ce bois limitrophe de ma ville. Or, jusqu'à récemment encore, je ne m'y promenais jamais sauf les rares fois où mes amis provinciaux m'en suggéraient l'idée lorsqu'ils étaient en manque de verdure... au bout de trois jours dans la capitale ! En ce qui me concerne, sauf le chemin très court entre ma maison et la station de taxi ou de bus, je ne connais pas ma banlieue, trop proche de Paris dans la même rue, d'un trottoir à l'autre, on change de département !, j'ai toujours le réflexe "Paris" pour la plupart des courses ou promenades difficile de chasser plus de vingt ans d'habitude !. Or, il y a trois ans, un jour que j'avais envie de m'aérer un peu sans prendre les transports, je suis allée faire un tour au bois pas d'ambiguïté, hein, les parisiens !!! et j'ai eu la surprise de voir que ce bois avait des allures très "sauvage" des buissons de mûres partout, des noisetiers, des aubépines chargées de cenelles, des châtaigniers, et autres arbres à délices me tendant les bras, comme lors de mes promenades dans la campagne de mon enfance ! Bon, d'accord, ce n'est pas la forêt de Tronçais, mais je suis étonnée que, si près de la capitale, on trouve un bois aussi bien agencé et savamment entretenu pour laisser une grande part à un espace naturel où la végétation peut s'épancher librement. Du coup mes instincts de cueilleuse, stimulés ses dernières années par des lectures très orientées dont j'ai déjà parlé l'ethnobotanique sont vite revenus. Je suis prête pour le régime paléo. ! Depuis, et ceux qui suivent ce blog, le voient, c'est du printemps à l'hiver que j'y vais faire mes provisions en tout genre laitue sauvage, roquette, chénopode, amarante, bardane, phytolaque, pour les légumes, acacia, sureau pour les beignets... - Selon les saisons, on remarque plus ou moins certains végétaux. Cette année, j'ai pris le temps d'aller voir les arbres en fleurs, ce qui m'a permis de remarquer beaucoup de pruniers sauvages. J'y suis retournée en début de saison, puis j'ai suivi les cycles de "mon" verger sauvage ! Voilà, maintenant les prunes sont mûres à point pour la bouche ou la transformation en confiture ! Elles sont simplement dé-li-cieuses ! Rien à voir avec les prunes du commerce qui, à part la courte saison de nos reines-claudes ou mirabelles, pour la plupart viennent d'Afrique du Sud ou du Chili, ces énormes fruits qui n'ont ni saveur ni parfum... - En principe, je n'aime pas trop la confiture de prunes, mais là, les pruniers croulent sous les fruits, apparemment peu de personnes les cueillent. Lors de ma sortie, j'ai seulement rencontré une bande de flics arpentant le bois pour s'assurer du bien-être des SDF, de plus en plus nombreux à installer leurs tentes... "Elles sont déjà mûres ?" m'a demandé l'un des agents, de loin. Ah, ils avaient l'air de connaître l'endroit, eux... "Pas toutes, mais chertaines foui..." ai-je répondu la bouche pleine !!! "Bon appétit !", m'a-t-il lancé, en rigolant ! "Meeurcheu.." Il y en a de toutes les couleurs rouges... ou jaunes, dorées à souhait ces dernières avec un super goût de mirabelle ! C'est une année à prunes, les branches sont tellement chargées qu'elles penchent jusqu'au sol... Une fois cuite, la confiture revêt une couleur cuivre qui se confond avec celle de la bassine. Comme il est impossible de les dénoyauter la chair colle vraiment au noyau !, j'en ai fait une gelée très "rustique".RECETTE RAPIDE qui peut s'appliquer aussi aux prunes cultivées qui ne sont pas très belles ou difficiles à dénoyauter - rincer rapidement les prunes ; - les mettre dans une marmite, couvrir à niveau d'eau, faire cuire une demi-heure, le temps que les prunes se défassent, les écraser légèrement avec un presse-purée pour faire faire sortir la pulpe ; - laisser tiédir puis filtrer dans une passoire pas trop fine pour laisser passer la pulpe ; - le faire macérer avec le sucre à proportion de 800 g * par litre de jus épais obtenu, et en y ajoutant le jus de 1 citron par litre de jus ; remuer et laisser reposer au moins 2 heures ; - cuire dans la bassine à confiture environ 30 mn, jusqu'à la prise en confiture ; - mettre en pots à chaud. On obtient une superbe gelée "trouble" à cause de la pulpe, mais je n'aime pas la gelée dite fine, très transparente, juste obtenue avec le jus du fruit qu'on filtre au chinois ou à travers un linge. Il ne reste plus qu'à coller les étiquettes. J'aime bien les faire moi-même, maintenant avec l'ordinateur, c'est génial, du copier-coller et on se retrouve avec une planche de 24 étiquettes en 3 secondes ! Comme j'ai récolté beaucoup de fruits, pour varier un peu, j'ai fait aussi une tournée de prune-groseille. Les deux versions sont très bonnes. La prune sauvage n'a rien de comparable avec la prune cultivée comme je l'ai dit, impossible de détacher la chair du noyau, juteuse mais non aqueuse, peu de parfum crue, mais exhalant un subtil parfum proche du "pruneau" à la cuisson. Quant à la confiture, elle est excellente, rappelant presque, curieusement, la confiture de... cynorhodons ! Ca tombe bien, j'adore aussi, sauf que celle du commerce est trop sucrée et n'a jamais ce goût spécifique de la baie. J'en ferai à la saison, c'est-à-dire vers octobre-novembre... si j'arrive à en cueillir. Ici, dans le bois, les baies dessèchent sans pouvoir être exploitées. Peut-être dans ma Bretagne, où il y a plein d'églantiers, sinon j'ai de beaux massifs de rosiers rugosa avec des fruits magnifiques, il suffit que les oiseaux m'en laissent un peu ! C'est plus doux et moins savoureux que le fruit sauvage, mais c'est bon quand même. Voilà, les pots sont rangés dans le placard à confitures... Je les oublie pendant un mois, le temps qu'elle "repose", puis je regoûte pour savoir si elle est très bonne et donc "donnables", puis vient le plaisir de la distribution ou des envois de colis. Ben oui, je produis trop pour ma consommation personnelle, mais comme j'adore faire des confitures... Et je n'aime pas les garder trop longtemps. En principe, je les écoule dans l'année, ça permet d'en refaire tous les ans, de suivre le cycle des saisons, des années...************ Compotede quetsches. La quetsche est un fruit qui fait partie de la famille des prunes. C’est une petite prune de couleur violette que l’on retrouve en quantité dans la région Grand-Est de

© Michel Bury / CEDUS Type de plat dessert Difficulté facile Pour 6 personnes Temps de préparation 40 minutes Temps de cuisson 45 minutes Prix moyen Ingrédients 1 kg de quetsches ou de prunes rouges 250 g de sucre en poudre 2 macarons moelleux 2 blancs d’oeufs 125 g de poudre d’amandes 300 g de pâte brisée 20 g de beurre PréparationLaver, équeuter, ouvrir et dénoyauter les prunes. Les mettre dans une casserole à fond épais avec 150 g de sucre en poudre. Porter sur feu doux et laisser cuire jusqu’à consistance d’une compote épaisse un peu confiturée, en mélangeant de temps en temps. Retirer du feu et laisser le four thermostat 6-7 – 200 °C.Beurrer une tourtière et la garnir avec la pâte brisée. Piquer le fond avec les dents d’une fourchette et mettre au réfrigérateur jusqu’à le four est assez chaud, émietter les macarons sur le fond de tarte, puis étaler la compote de prunes par-dessus. Enfourner à mi-hauteur et laisser cuire 15 minutes les blancs en neige en leur incorporant le reste de sucre en poudre, puis la poudre d’amandes. Mettre cette meringue dans une poche à douille. Faire des cercles de meringue réguliers et rapprochés sur la surface de la tarte chaude, puis remettre au four 15 tarte est prête lorsque la meringue aux amandes s’est transformée en une belle croûte dorée la macaronade. Laisser tiédir un peu avant de démouler sur un plat de service. le 12/10/2010 Rechercher une recetteSur le même thème

Abaissezla température. Raccourcissez le temps de production. Placez les yaourts au réfrigérateur à la fin du cycle. Ajoutez un peu de crème ou utilisez du lait entier / demi-écrémé (donc plus de matière grasse) ou utilisez même du lait de soja. N’utilisez pas de fruits crus.
Ellessont sucrées vers la peau et acides au milieu. Ce sont les meilleures prunes que je connaissent pour la confiture et les compotes, par contre j'aimerais bien trouver pour changer une recette de gâteau sympa, en sachant qu'on ne peut pas les dénoyauter. Les tartes ne sont pas géniales avec ces prunes. Merci d'avance pour vos idées!
Alimentsà offrir : graines, millet, granulés, certains fruits frais ou aliments humains faciles à digérer tels que des bananes mûres écrasées, de la compote de pommes, des
Préparezla compote de prunes: Lavez les fruits, dénoyautez les , mettez les dans une casserole avec 50 g de sucre et cuisez sur feu doux en remuant de temps en temps et laissez compoter environ 15 minutes. Coupez le feu et
Récoltantbeaucoup de reines-claudes, je fais une "MARMELADE DE PRUNES PEU SUCREE" qui s'apparente à une compote de fruits.. Proportions pour. 1 kg de prunes,; cUbf.
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