Résuméde Vipère au Poing d’Hervé Bazin Résumé chapitre par chapitre Chapitre I Dans une propriété familiale, un petit garçon étouffe une vipère. Lorsqu’il exhibe son trophée, il provoque
Corrigé du devoir de lecture – Vipère au poing de Hervé Bazin - Classe de troisième I – Recherche dans l'œuvre. 1 2 3 4 Une vipère est capturée par le héros au début du roman. La vipère peut-être interprétée comme un symbole à deux niveaux Cet animal incarne alors pour lui toute la haine qu'il porte en lui ; c'est un symbole de la violence qu il incarne et dont il compte se servir alors qu'il s'apprête à entrer dans ' le monde à la fin du roman. La vipère incarne aussi la figure maternelle qu'il maîtrise en la tenant fermement à distance. Au début du roman il raconte la première fois qu'il saisit cet animal et la peur qui accompagne cette bravade, à la fin du récit, il en est le maître et la dirige comme s'il était le dompteur implacable d'un animal dangereux. La lutte avec la vipère est donc la métaphore de la lutte avec la mère. La demeure familiale s'appelle La Belle Angerie ». Le nom n'est pas bien choisi car la douceur de ce nom s'oppose au climat terrible qui règne dans cette infernale famille. La douceur du nom est renforcée par la présence du nom ange » dans le nom lui-même. La mère s'appelle Paule Pluvignec » II – Compréhension de l'œuvre. personnage du père. a b a. Lorsque la mère est absente de la maison, le père en profite pour partager sa passion des insectes avec ses fils. Il leur confie des tâches à accomplir et va jusqu'à nommer plusieurs insectes découverts par lui du nom de ses fils. Le narrateur affirme alors A son sens, M. Rezeau ne pouvait nous donner nulle preuve plus péremptoire de sa tendresse ». Pour le père, nommer ces insectes du nom de ses enfants est un très grand privilège. Cependant, nous pouvons remarquer que pour le narrateur cela révèle plutôt une grande maladresse de sa part. La formule A sons sens » nous révèle bien que le narrateur ne considère pas cela comme un signe de tendresse paternelle. Au contraire, cela suggère la froideur du père. Il ne se rend pas compte qu'il compare symboliquement ses fils à des insectes qu'il va piquer dans des boîtes ! Cette anecdote révèle combien le père est maladroit et se révèle incapable de montrer sa tendresse à ses fils. L'image de ce père est plutôt négative parce qu'il cède devant les injustices de sa femme. Il n'intervient pas pour faire cesser le malheur de ses enfants. Au contraire, il y contribue en fermant les yeux sur leur sentiment. Il apparaît donc comme un père lâche. De plus, il se réfugie dans certaines manies qui révèlent son orgueil déplacé. Ainsi, il organise à la fin du roman un fête onéreuse alors que sa famille est désargentée. Il a une haute idée de sa famille, croit appartenir à une famille dont la noblesse le place au-dessus des autres alors qu'il est un homme lâche, de santé fragile, qu'il ne travaille pas vraiment et qu'il profite de la richesse de sa belle famille pour entretenir la sienne. 2. Le personnage de la mère. A la page 61, le héros affirme Papa, vous ne trouvez pas que maman ne se ressemble pas quand elle dort ? » et son père poursuit en déclarant C'est vrai qu'elle est mieux sans son
Ila une querelle à Meung où il a rencontré un gentilhomme et Milady : ce dernier lui a volé sa lettre de recommandation. La peste se propage partout. Résumé chapitre par chapitre 1. Lettres africaines, 2013, 224 p. Tout s'effondre, il n'y a plus de centre. Résumé de Vipère au poing d'Hervé Bazin.
Vipère au poing Auteur Hervé Bazin Genre Roman autobiographique Éditeur Grasset Collection Pourpre Lieu de parution France - Paris Date de parution Juin 1948 Illustrateur Caroline Ledoux Nombre de pages 237 Chronologie La Mort du petit cheval Vipère au poing est un roman largement autobiographique[Note 1] d'Hervé Bazin, sorti en 1948. Le livre décrit l'enfance et l'adolescence du narrateur, Jean Rezeau Brasse-Bouillon ». Ce dernier décrit ses rapports avec sa famille, et notamment sa mère Paule Rezeau, née Pluvignec Folcoche » contraction de folle et de cochonne, cruelle et peu aimante. Ce roman est un huis clos entre la mère indigne, les trois enfants martyrisés, le père lâche et un précepteur changeant. Résumé Durant l'été 1922, Jean et Ferdinand sont élevés par leur grand-mère paternelle dans le château familial de la Belle-Angerie, dans la région de Segré, au nord d'Angers. La mort de leur grand-mère oblige leurs parents, Jacques et Paule Rezeau, à quitter la Chine où le père enseigne dans une université de Shanghai, pour revenir s’occuper de leurs enfants. Avec impatience et curiosité, les deux enfants attendent leurs parents et le petit frère qu’ils ne connaissent pas sur le quai de la gare. En se jetant sur leur mère pour l’embrasser, ils se font violemment repousser par cette dernière qui souhaite descendre tranquillement du train. Leur nouveau petit frère, Marcel, leur adresse un salut presque froid. Seul leur père les embrasse. De retour au château, la famille et le personnel sont convoqués dans la salle à manger pour écouter la nouvelle organisation de la famille le père annonce un emploi du temps spartiate, avec messe dans la chapelle privée dès le commencement de la journée, vers 5 h, et à son achèvement vers 21 h 30. Pendant la journée, les études sont dispensées par l'abbé qui vit avec eux. Soudain, le père prend prétexte d’avoir des mouches à piquer pour se retirer, laissant ainsi son épouse, Paule, annoncer ses propres directives les enfants n’auront plus le droit au café au lait le matin mais à la soupe, ils auront les cheveux tondus par mesure d'hygiène et, par sécurité, elle ôte les poêles, les édredons et les oreillers dans leur chambre. Elle leur confisque tous leurs objets personnels. Quant aux heures de récréations, elles doivent être consacrées à l'entretien du parc. Pour ne pas user leurs chaussures et chaussettes, elle leur impose le port de lourds sabots, qu'ils peuvent » porter avec de la paille s'il fait froid. En peu de temps, les enfants sont affamés, frigorifiés, privés de tout confort, de toute tendresse, et constamment sujets à des brimades, punitions ou humiliations de la part de leur mère, sous l'œil de leur père qui semble préférer ne rien voir pour éviter un conflit avec son épouse. Au cours des repas, elle n’hésite pas à piquer violemment un de ses fils avec la fourchette s'ils n’adoptent pas une tenue qu'elle considère correcte. Quand la gouvernante tente de s’interposer, Paule la renvoie immédiatement, comme elle l'a déjà fait pour tout le personnel, à l’exception de Fine, la vieille cuisinière, à sa merci du fait qu'elle est sourde et muette. Les enfants qui détestent leur mère lui trouvent le surnom qu'elle porte dorénavant en permanence Folcoche », contraction de Folle et Cochonne. Ils gravent partout où ils le peuvent des VF rituels, signifiant Vengeance à Folcoche. Jean, le narrateur, est le fils qu'elle déteste le plus car il fait preuve d'une certaine audace, notamment en la fixant intensément pendant les repas, rituel » que les frères appellent pistolétade ». Lorsque Folcoche doit être hospitalisée en raison de graves problèmes rénaux, les enfants exultent, espérant que leur mère mourra de son mal, mais contre toute attente, elle survit. Toutefois, ayant laissé la maison suffisamment longtemps pour que les châtiments corporels ne soient plus assez efficaces sur ses fils, Mme Rezeau tente alors de séparer le trio en les montant les uns contre les autres. Ainsi, durant une expédition à laquelle ne participent que M. Rezeau, Jean et Freddie, elle profite pour obtenir de Marcel qu'il lui révèle une cachette dans laquelle les trois frères dissimulaient différents objets et nourriture dérobés. A leur retour, Jean et Freddie apprennent la trahison de Cropette et l'arrivée d'un nouvel abbé, surnommé par les enfants B VII, particulièrement cruel. Freddie doit assumer seul la responsabilité du vol des objets et de la nourriture et est fouetté. Dépités par la tournure des événements, les enfants tentent alors de tuer Folcoche. Ils cherchent dans un premier temps à l'empoisonner avec ses propres médicaments, mais la tentative se solde par un échec. Par la suite, lors d'une sortie en bateau, Brasse-Bouillon s'arrange pour faire tomber Folcoche dans la rivière de l'Omée. Paule, qui ne sait pas nager, parvient pourtant à s'en sortir. Folle de rage, elle cherche à faire fouetter Jean qui se barricade dans sa chambre puis s'enfuit durant la nuit afin de demander l'arbitrage de ses grands-parents maternels. La rencontre avec les parents de Folcoche est une déception pour le héros qui peut mesurer à quel point ceux-ci n'accordent aucune importance, ni à leur fille, ni à leurs petits-enfants. Finalement, Jean est ramené à la Belle Angerie par son père. Au comble du conflit qui les oppose, Folcoche tente de faire envoyer Jean dans une maison de redressement en dissimulant son propre portefeuille dans une cachette de la chambre des enfants, mais Jean - qui l'a vue faire - le lui restitue immédiatement et parvient à la convaincre de l'envoyer, lui et ses frères, au collège. Acculée, Folcoche doit céder. L'épilogue trace le parallèle entre la vipère réelle du début de l'histoire et celle, symbolique, représentant sa propre mère. Brandissant cette victoire contre la tyrannie maternelle, le narrateur conclut par ces mots "Merci ma mère. Je suis celui qui marche, une vipère au poing." Un roman autobiographique Dès la sortie du roman, Hervé Bazin le déclare autobiographique ; cependant, quand sortent les deux autres romans La Mort du petit cheval et Cri de la chouette formant la trilogie de la famille Rezeau, il modère ses propos et affirme que ce ne sont que des romans bien qu'ils soient largement inspirés de son enfance douloureuse auprès d'une mère sèche et autoritaire. Le contexte géographique Bazin situe le roman à Soledot, village proche de Segré en Anjou. Jean et ses frères ainsi que leurs parents, Fine, et les curés successifs apparus dans le roman vivent dans un manoir relié à une chapelle et à une boulangerie qu'ils appellent de façon très méliorative La Belle Angerie ». Hervé Bazin a lui-même grandi dans une propriété près de Segré, dans la commune de Marans, qui peut donc être identifiée au Soledot du roman. La famille Bazin y possédait une propriété, le Patys ou Pâtis, un petit château de la seconde moitié du XIXe siècle[1]. Une ferme située à proximité se nomme par ailleurs la Belle Angerie[2]. La description qui est faite de la Belle Angerie est plutôt fidèle à l'apparence du Patys, avec ses deux tourelles, ses verrières et le ruisseau qui coule à proximité, l'Ommée[1],[3]. En outre, de nombreux lieux existant réellement autour de Marans sont mentionnés au fil du roman, comme Bécon-les-Granits, Les Ponts-de-Cé ou Candé. Le contexte familial Hervé Bazin présente la famille Rezeau comme descendante d'un Claude Rezeau[4], et d'une famille "de Tanton". Cela est aussi le cas comme en témoigne la généalogie de la famille Bazin Claude Bazin, aïeul de l'auteur, né en 1645 a épousé une demoiselle de Tanton de La Gaugrières. La seule différence entre le roman et la réalité réside dans le fait que Bazin s'appelait en réalité Jean-Pierre Hervé-Bazin ; son père était Jacques Hervé-Bazin, fils de Ferdinand Hervé et Marie Bazin[5]. Le patronyme "Rezeau" rappelle le nom du château qui a appartenu à des ancêtres d'Hervé Bazin, le château Rezeau à Andard[6]. Dans le roman, peut-être pour des raisons de simplification, Bazin crée l'histoire de la famille Rezeau, dont le domaine se transmet de père en fils. Chez les Hervé-Bazin, en fait, le Pâtis s'est transmis par sa grand-mère. L'académicien René Rezeau du roman qui est un frère du grand-père paternel de Jean, est dans la réalité l'académicien René Bazin, frère de la grand-mère paternelle. Entre le roman et la véritable famille d'Hervé Bazin, les prénoms et noms des personnages sont souvent à peine modifiés. Par exemple, la famille Rezeau est composée de Jacques Rezeau docteur en droit et Paule Pluvignec, et de leurs enfants Ferdinand dit Chiffe, Jean dit Brasse-Bouillon et Marcel dit Cropette. La famille Hervé-Bazin est composée, elle, de Jacques Hervé-Bazin aussi docteur en droit et Paule Guilloteaux, et leurs enfants, Ferdinand, Jean-Pierre et Pierre. À noter que dans l'édition "J'ai Lu", Hervé Bazin fait un lapsus repris par l'éditeur en écrivant "Pierre" pour désigner "Marcel" dans le dernier chapitre de Vipère au poing. Les noms et prénoms des oncles et tantes de Hervé Bazin n'ont également été que très peu modifiés, comme Michel Hervé-Bazin, protonotaire apostolique, qui apparaît avec la même fonction cléricale dans le roman, avec pour identité Michel Rezeau. Les nombreux témoignages de l'écrivain, ainsi que de sa fille, Catherine, elle aussi écrivain, réaffirment la cruauté de Folcoche, confirmant ainsi le caractère autobiographique du roman. Adaptations à l'écran L'œuvre d'Hervé Bazin a fait l'objet de deux adaptations, l'une pour la télévision, l'autre pour le cinéma, qui ont conservé le titre du roman. La première adaptation[7] a été diffusée à la télévision en 1971, dans une réalisation de Pierre Cardinal, avec Alice Sapritch qui y interprète une Folcoche marquante. La seconde adaptation est sortie sur les écrans en 2004, dans une réalisation de Philippe de Broca, avec Jacques Villeret et, dans le rôle de Folcoche, Catherine Frot. Suite Ce roman, écrit dans un français exemplaire, est étudié par les collégiens français et reste une référence sur l'enfance difficile. Il est suivi de La Mort du petit cheval, qui relate le passage à l'âge adulte du héros et sa transformation par l'amour et la paternité, puis de Cri de la chouette, qui voit, vingt ans après, l'arrivée de Folcoche dans la famille recomposée de Jean et les troubles que provoque son affection tardive et maladroite pour son fils. Éditions Première édition imprimée Hervé Bazin, Vipère au poing, Paris, Bernard Grasset, coll. Pourpre », 1948, 256 p. BNF 41623141 Livre audio Hervé Bazin auteur et Pierre Vaneck narrateur, Vipère au poing, Paris, Auvidis, 1988 EAN 329-84-9000-704-4, BNF 38145428Support 4 cassettes audio ; durée non connue ; référence éditeur Auvidis Z125 AD 803. Hervé Bazin auteur et Pierre Vaneck narrateur, Vipère au poing, Paris, Auvidis, 1995 EAN 329-84-9000-704-4, BNF 38145428Support 5 disques compacts audio ; durée 5 h 38 min environ ; référence éditeur Auvidis AZ704 AD 104. Hervé Bazin auteur et Pierre Vaneck narrateur, Vipère au poing, Paris, Naïve, 3 juin 2004 EAN 329-84-9000-759-4Support 5 disques compacts audio ; durée 5 h 38 min environ ; référence éditeur non connue.[Note 2] Sources Notes ↑ Voir aussi l'article autofiction ↑ Naïve est le repreneur de l'ancien catalogue d'Auvidis. Références ↑ a et b Base Mérimée Demeure dite le Pâtis ↑ Ouest-France, Hervé Bazin Marans se souvient de son romancier, 20 décembre 2012 ↑ Vipère au Poing ↑ Peut-être est-ce une allusion au capitaine de l'armée de Charette, en Vendée, Pierre Rezeau, qui a bien existé. ↑ Hervé Bazin, Abécédaire, article Bourgeoisie paléo » ↑ Pierre-Louis Augereau, Les Secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, page 312 ↑ Vipère au poing sur Voir aussi Articles connexes Poil de carotte 1894, roman autobiographique de Jules Renard Liens externes
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MmeThirion, épouse du médecin a évidemment un rôle beaucoup moins sympathique : femme bafouée par l’adultère de son mari, elle devient mère cruelle en se vengeant sur Raoul de son époux, de Jeanne et de l’enfant adultérin, une sorte de Folcoche, vipère au poing.

Fiche de lecture sur vipère au poing Delphine Leloup Téléchargement immédiat Format ePub Sans DRM Résumé Tout ce qu'il faut savoir sur Vipère au poing d'Hervé Bazin ! Retrouvez l'essentiel de l'?uvre dans une fiche de lecture complète et détaillée, avec un résumé, une étude des personnages, des clés de lecture et des pistes de de manière claire et accessible, la fiche de lecture propose d'abord un résumé chapitre par chapitre du roman, puis s'intéresse tout particulièrement à Jean et à sa mère, qui entretiennent une relation haineuse. On étudie ensuite la dimension autobiographique de l'?uvre, ainsi que sa portée initiatique, avant d'aborder la critique formulée par Mauriac à l'encontre de la famille bourgeoise. Enfin, les pistes de réflexion, sous forme de questions, vous permettront d'aller plus loin dans votre étude. Une analyse littéraire de référence pour mieux lire et comprendre le livre ! Caractéristiques techniques NUMERIQUE Éditeurs Lemaitre Publishing Auteurs Delphine Leloup Parution 31/08/2011 Nb. de pages 13 Contenu ePub EAN13 9782806222411 Avantages Livraison à partir de 0,01 € en France métropolitaine Paiement en ligne SÉCURISÉ Livraison dans le monde Retour sous 15 jours + d'un million et demi de livres disponibles Résumé Caractéristiques techniques Nos clients ont également acheté Livreen français Résumé Vipère au poing, c'est le récit, largement autobiographique, du combat impitoyable que livrent Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon, et ses

Présentation du romanVipère au poing est le premier roman d'Hervé Bazin. Celui-ci l'a rendu immédiatement célèbre. Il a été publié en 1948, et est le premier volet d'une trilogie qui raconte successivement l'enfance de Jean Rezeau, sa vie de jeune adulte puis celle d'homme d'âge mûr jusqu'à la mort de sa mère Folcoche. Cette trilogie Vipère au poing, La Mort du Petit Cheval, Le Cri de la Chouette est très largement au Poing a été adapté à la télévision en 1971. Alice Sapritch y interprète le rôle de Folcoche dans une réalisation de Pierre Cardinal. Résumé du romanL'histoire débute durant l'été 1922. Un enfant découvre une vipère. Il la saisit et l'étouffe de ses mains. Cet acte lui vaut d'être comparé à Hercule, le personnage de la mythologie grecque, qui dans son berceau étrangla deux ans plus tard, Jean Rezeau, "l'enfant de 1922" est le narrateur de l'histoire. Son surnom est Brasse-Bouillon. Il évoque la propriété de sa famille, La Belle Angerie. Il présente sa grand-mère paternelle, Mme Rezeau, chez qui lui et son frère aîné, Ferdinand, ont passé, parmi des domestiques dévoués, quelques années d'enfance heureuses tandis que leurs parents et leur plus jeune frère séjournaient en Chine. M. Rezeau père enseignait le droit international dans une université Jean a huit ans, sa grand-mère meurt d'une maladie des reins. Les parents doivent rentrer de Chine. Les deux frères ont hâte de revoir leurs parents et de découvrir ce petit frère, Marcel, qu'ils ne connaissent pas .Mais les retrouvailles se transforment en cauchemar. Les deux frères sont sur le quai de la gare de Segré pour accueillir leurs parents et leur petit frère. Ils se précipitent vers leur mère pour l'embrasser. Mais celle-ci, agacée par ces gestes de tendresse les gifle sans ménagement et leur ordonne de porter les Rezeau cesse de travailler et vit des revenus de la propriété. Homme faible, il est dominé par sa femme et préfère passer ses journées à collectionner les insectes plutôt que de s'occuper de ses enfants. Le narrateur décrit ensuite les autres membres de sa famille sa mère, Mme Rezeau est la fille d'un sénateur, et la petite fille d'un banquier. Très riche , elle a apporté une immense dot au mari que lui ont choisi ses Jean présente ses frères Ferdinand, l'aîné, dit Fredie que l'on appelle parfois Chiffe en raison de son caractère timide et peureux; et Marcel , le jeune frère , le préféré de sa mère, qu'il décrit comme fourbe et travailleur. Jean , le narrateur que l'on appelle Brasse-Bouillon, se décrit comme un enfant joufflu, aimant la vie mais aussi rebelle et ayant mauvais leur arrivée, les parents imposent une discipline de fer. M. Rezeau établit des horaires draconiens et Mme Rezeau commet de sévères brimades, dont la plus traumatisante est de tondre ses enfants avec la tondeuse qui servait auparavant pour l'âne deux frères aînés subissent la cruauté de leur mère, sa partialité et sa sévérité. Elle chasse Ernestine , la gouvernante, qui a eu le malheur de protester et peut ainsi à sa guise imposer sa tyrannie . Elle nourrit mal ses enfants, et se permet pendant les repas de planter sa fourchette dans leurs mains. Elle les prive de promenades et les condamne à passer leurs journées à désherber les allées du parc. Elle confisque les objets et les jouets de ses enfants ainsi que les friandises que leur offre leurs grands-parents. Pire, le soir, après la prière, chaque enfant doit se confesser devant elle et le précepteur et avouer les péchés de la journée. Marcel, le jeune fils préféré, en profite pour dénoncer ses par tant de cruauté, Fredie et Jean se réfugient dans l'hypocrisie et affublent leur mère du surnom de Folcoche, association de folle et de la saison de chasse , M. Rezeau père propose à ses enfants de l'accompagner et de rabattre le gibier. Les fils profitent pleinement des ces quelques heures de liberté. Folcoche, elle, vit mal ce plaisir que leur procure ce loisir. Un soir, excédé de constater que ses fils ont passé une très agréable journée, elle décide de sévir. Pour une fois, leur père décide de s'interposer. Vexée par cet échec Folcoche fait payer cette humiliation à ses enfants. Sans aucun motif, les dents serrées, elle les bat. Le jardinier , qui a eu le malheur d'assister à la scène est soir pendant la prière, Folcoche s'évanouit. Le médecin diagnostique des calculs à la vésicule. En plus de la douleur que doit supporter Mme Rezeau, en raison de cette maladie, elle doit affronter Brasse-Bouillon qui a trouvé comme seule défense de la fixer dans les yeux durant les repas. Ce soir-là il parvient à soutenir son regard pendant huit la Belle Angerie, les précepteurs se succèdent à un rythme effréné. Soit ils ont le malheur de se hasarder à des remarques, soit ils ne supportent pas cette ambiance haineuse. Les enfants commencent à leur donner des surnoms, ainsi BIV est-il remplacé par BV qui ne reste que 8 14 juillet 1927, Folcoche est hospitalisée à Angers pour une opération de la vésicule biliaire. Les garçons profitent de l'absence de leur mère ils laissent repousser les pissenlits du jardin et leur cheveux. Même leur père semble aller mieux, ses migraines diminuent et il se met à initier ses enfants à sa passion des insectes, à la politique,à la botanique et à l' tarde à retrouver la santé; ses garçons craignent son retour et se prennent à rêver de sa mort. Ils en profitent aussi pour se constituer des réserves une cachette dans la chambre de Fredie leur permet de stocker toutes les provisions qu'ils peuvent rentre à la Belle Angerie. Mais durant les quelques mois de son absence, ses fils ont grandi et les gifles qu'elle distribue toujours aussi généreusement ont beaucoup moins d'impact. Il lui faut changer de stratégie. Elle essaye de renvoyer Fine, la femme qui sert la famille depuis trente ans, mais M. Rezeau s'y oppose. Pour semer la discorde parmi les trois frères qui ont constitué un "pacte de défense", Folcoche tente de corrompre Marcel , le jeune frère, mais Brasse-Bouillon parvient à maintenir l'union sacrée entre les décide alors d'éloigner les deux aînés pour mettre au point une nouvelle tactique. M. Rezeau père, Ferdinand et Jean partent en voiture dans le Gers. Cette aventure permet aux deux frères de goûter des plaisirs inconnus des hôtes chaleureux, des lits confortables, des repas délicieux.... Mais bizarrement Brasse-Bouillon supporte mal cette vie sans interdiction et sans haine. Folcoche lui manque ...Une lettre de Marcel, leur frère cadet, leur permet d'avoir les dernières nouvelles de la Belle Angerie. Folcoche a engagé un nouveau précepteur encore plus sévère que les précédents. Elle a aussi découvert la cachette où les enfants stockaient leurs provisions. Le retour risque d'être terrible...Les enfants rentrent à la Belle Angerie. Aussitôt ils donnent à l'abbé Traquet, leur nouveau précepteur, le surnom de BVII. Celui-ci commence par fouetter Frédie, en raison des provisions trouvées dans sa chambre. Mais Brasse-Bouillon ne reste pas inactif en cachette il réconforte son frère aîné . Ensuite il jette le trouble chez Folcoche en lui laissant croire que le précepteur a vraiment été très clément avec le fautif. Puis il murmure au précepteur que sa mère le prend pour un simple domestique. Enfin il obtient de son père que Frédie bénéficie d'une est devenu le principal souffre douleur de Folcoche. Elle multiplie les humiliations et lui, les représailles. C'est la "guerre civile". A l'actif de Folcoche les soupes épouvantablement salées, les habits de son fils qu'elle déchire et qu'elle accuse ensuite de négligence. Brasse Bouillon n'est pas en reste il déchire la collection de timbres de Folcoche, arrose ses fleurs avec de l'eau de Javel. Pour faire payer à leur mère sa piété perfide , les frères se défoulent dans les églises ils jettent les missels dans les bénitiers, détraquent les horloges, couvrent les murs de graffitis...Puis c'est la guerre "alimentaire" . Folcoche leur donne à manger du poisson avarié et accuse ses enfants d'avoir voulu empoisonner les chevaux. Cette accusation donne des idées aux enfants. Ils versent 100 gouttes de belladonne dans le café de leur mère pour l'empoisonner. Mais celle-ci qui a souvent utilisé ce médicament durant sa maladie n'aura qu'une "simple" colique. Les enfants ne désarment pas , si l'empoisonnement a échoué, alors ce sera la noyade dans la rivière. Folcoche en réchappe qui comprend qu'elle a échappé par deux fois à la mort décide de se venger. Elle demande à l'abbé Traquet de fouetter Brasse Bouillon , qu'elle soupçonne d'être le meneur. Il se barricade dans sa chambre et s'enfuit la nuit parvient à se rendre à Paris chez ses grands parents maternels, les Pluvignec. Il est impressionné par ce sénateur qui vit dans le somptueux quartier d'Auteuil , par sa fortune mais est incommodé par sa vanité. M. Pluvignec, lui, est amusé par l'audace de son petit-fils et il promet d'½uvrer pour réconcilier l'enfant et sa Rezeau père arrive à Paris chercher son fils et à la grande surprise de ce dernier il n'exprime aucune colère , juste un embarras. Jean en vient presque à regretter que ce ne soit pas Folcoche qui ait fait le voyage. Certes, il la déteste, mais elle, elle aurait fait preuve d'autorité et de Bouillon revient avec son père à la Belle Angerie . L'ambiance est plutôt à l'indifférence. Il prend alors l'habitude de se réfugier sur la plus haute branche d'un arbre de la propriété. Ce refuge, où il se rend très souvent lui permet d'analyser la nouvelle situation. Il sait que maintenant son combat contre Folcoche a changé de nature. Sa corpulence d'adolescent, ses initiatives, son assurance et son sens de la provocation impressionnent Folcoche. Il rêve d'être bientôt exclu de la travaux recommencent à la Belle Angerie il faut désherber les allées du parc, cirer les parquets du salon... Pourtant un anniversaire va modifier le quotidien. Cela fait vingt cinq ans que le vénérable René Rezeau a été élu à l'Académie française. Jacques Rezeau, le père de Jean souhaite organiser une grande cérémonie familiale pour fêter l'illustre octogénaire. Le jour de la fête, il faut écouter un discours assommant de trois heures. Jacques Rezeau profite de cette journée pour vanter les valeurs de la bourgeoisie et de la famille. Jean pour sa part a trouvé cette cérémonie désuète et incongrue. La haine qu'il éprouvait pour ses proches s'étend maintenant à toute sa famille et à toute la Bouillon et Folcoche se ménagent quelque peu. Jean a maintenant quinze ans et commence à désirer les femmes. Il jette son dévolu sur Madeleine, une jeune fermière. Un dimanche d'été, en fin d'après-midi, il parvient à la séduire sous l'½il attentif de Frédie qui, à la fois, contrôle le voisinage et s'assure de la réussite de son quelques semaines, Jean savoure sa conquête, mais très vite il s'irrite des marques de tendresse de Madeleine. Pour lui, les femmes ne peuvent être différentes de sa mère, c'est pourquoi il s'en qui sait maintenant que Brasse Bouillon la connaît parfaitement souhaite l'éloigner. Elle projette de cacher son portefeuille dans la chambre de son fils puis elle l'accusera. Jean pressent le piège. Il voit sa mère sortir de sa chambre et s'empresse de lui rapporter le portefeuille qu'elle a "oublié". La confrontation entre les deux adversaires n'a pas lieu, car finalement ils ont le même objectif le départ de Jean pour le Collège. Ce qu'il finit par obtenir pour lui et pour ses frèresJean va prévenir Madeleine de son départ. Il se moque de sa tristesse. Elle fond en trois garçons vont partir comme internes chez les Jésuites au Mans. Reste une haine définitive entre Folcoche et Jean. Cette animosité a façonné pour toujours la personnalité du narrateur. Il n'a plus confiance en rien ni en personne. Il quitte la Belle Angerie "une vipère au poing".

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Les meilleurs professeurs de Français disponibles4,9 70 avis 1er cours offert !5 85 avis 1er cours offert !4,9 117 avis 1er cours offert !5 39 avis 1er cours offert !4,9 56 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !4,9 70 avis 1er cours offert !5 85 avis 1er cours offert !4,9 117 avis 1er cours offert !5 39 avis 1er cours offert !4,9 56 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !C'est partiRésumé de Vipère au poing Jules Sitruck dans le rôle de Brasse-Bouillon, enfant. Film de Philippe de Broca, "Vipère au poing", sorti en 2004. Des retrouvailles de mauvais augure En 1922, Jean Rézeau, dont le surnom est "Brasse-Bouillon", découvre une vipère et l'étouffe de ses mains. 25 ans plus tard, il décide de raconter sa jeunesse et ainsi d’expliquer ses rapports avec sa famille, en décrivant leur quotidien lorsqu’ils vécurent à La Belle Angerie, un vieux château familial. Chez sa grand-mère paternelle, son frère aîné, Ferdinand, et lui, ont passé, parmi des domestiques dévoués, quelques années d'enfance heureuses. Leurs parents et leur plus jeune frère séjournaient quant à eux en Chine. Son père enseignait en effet le droit international dans une université chinoise. Mais tout bascule lorsque Jean a huit ans sa grand-mère meurt d'une maladie des reins. Ses parents doivent donc rentrer de Chine, à la Belle Angerie. Lui et son frère ont au départ très hâte de revoir leurs parents et de découvrir ce petit frère, Marcel, qu'ils ne connaissent pas. Sauf que les retrouvailles vont très vite les décevoir à peine descendue du train, leur mère les repousse violemment et en vient même à les gifler, leur ordonnant ensuite de porter les valises. Et l’attitude de Marcel n’est pas chaleureuse. Seul leur père les embrasse. Un quotidien strict, sans confort ni tendresse Les nouvelles règles de vie instaurées par leurs parents et surtout leur mère sont drastiques. Ils ne peuvent manger que de la soupe, ne doivent consacrer leurs heures libres qu’à l’entretien du parc du domaine, se rendre à la messe tous les jours et, même au niveau vestimentaire, leurs conditions sont réduites. En effet leurs chaussures sont remplacées par des sabots grossiers, et ils sont aussi tondus, soit disant par mesure d’hygiène. Très vite ils commencèrent ainsi à souffrir du froid, de la faim, et se sentent privés de tous plaisirs puisque même tous leurs objets personnels leur sont confisqués. L’humiliation est aussi physique puisque leur mère n’hésite pas à les battre, quel que soit le prétexte. Ils en viennent ainsi à haïr profondément leur génitrice, qu’ils surnomment Folcoche la contraction de folle » et de cochonne ». Même s’ils passent exceptionnellement de bons moments avec leur père, qui se place à l’opposé du caractère agressif de sa femme, lui se contente de rester en retrait en se réfugiant dans son bureau pour s’occuper de sa collection d’insectes, ayant finalement lui aussi peur de Folcoche. Leurs précepteurs se succèdent mais leur mère finit par en trouver un qui lui convient l’abbé Traquet. Ferdinand et Jean lui donnent aussitôt le surnom de BVII. Celui-ci suit les strictes recommandations de leur mère, et il commence par fouetter Frédie, en raison des provisions trouvées dans sa chambre, rassemblées lorsque Folcoche se trouvait à l’hôpital. Mais Brasse-Bouillon ne reste pas inactif en cachette il réconforte son frère aîné. Ensuite, Brasse-Bouillon met son plan à exécution. Il jette le trouble chez Folcoche en lui laissant croire que le précepteur a vraiment été très clément avec le fautif. Puis, pour le contrarier il suggère au précepteur que sa mère le prend pour un simple domestique. Enfin, il obtient de son père que Frédie bénéficie d'une amnistie. C’est une petite victoire. Folcoche, interprétée par Catherine Frot, dans le film de Philippe de Broca 2004. Source Rezo Films La longue bataille entre Folcoche et Brasse-Bouillon Malheureusement, en raison de son audace Jean est devenu le principal souffre-douleur de Folcoche. Elle multiplie les humiliations à son égard et lui, les représailles. C'est la "guerre civile". À l'actif de Folcoche les soupes épouvantablement salées, les habits de son fils qu'elle déchire, l’accusant ensuite de négligence. Brasse-Bouillon n’abandonne pas la bataille il déchire la collection de timbres de Folcoche et arrose ses fleurs avec de l'eau de Javel. Pendant les repas, il réussit à soutenir son regard de plus en plus longtemps. Et pour faire payer à leur mère sa piété perfide, les frères s’allient et se défoulent dans les églises ils jettent les missels dans les bénitiers, détraquent les horloges, couvrent les murs de graffitis... Puis c'est la guerre "alimentaire". Folcoche leur donne à manger des aliments avariés et accuse ses enfants d'avoir voulu empoisonner les chevaux. Cela se retourne contre elle car cette accusation donne des idées aux enfants. Ils versent 100 gouttes de belladone dans le café de leur mère pour l'empoisonner. Mais celle-ci, qui a souvent utilisé ce médicament durant sa maladie, n'aura qu'une "simple" colique. Les enfants ne désarment pas après leur tentative d’empoisonnement, ils tentent de la noyer lors d’une promenade sur la rivière. Folcoche en réchappe miraculeusement. Folcoche, qui comprend qu'elle a échappé par deux fois à la mort, décide de se venger. Elle demande à l'abbé Traquet de fouetter Brasse-Bouillon, qu'elle soupçonne d'être le meneur. Il se barricade dans sa chambre et s'enfuit la nuit venue. La fugue de Brasse-Bouillon Il parvient à se rendre à Paris chez ses grands-parents maternels, les Pluvignec. Il est impressionné par ce sénateur, sa fortune, mais est incommodé par sa vanité. M. Pluvignec, lui, est amusé par l'audace de son petit-fils et il promet d'œuvrer pour réconcilier l'enfant et sa famille. Jacques Rezeau, le père, arrive à Paris pour chercher son fils et, à la grande surprise de ce dernier, il n'exprime aucune colère, juste de l’embarras. Jean en vient presque à regretter que ce ne soit pas Folcoche qui ait fait le voyage. Certes, il la déteste, mais elle, elle aurait fait preuve d'autorité et de fermeté. Brasse-Bouillon revient avec son père à la Belle Angerie. L'ambiance est plutôt à l'indifférence. Il prend alors l'habitude de se réfugier sur la plus haute branche d'un arbre de la propriété. Ce refuge, où il se rend très souvent lui permet d'analyser la nouvelle situation. Il sait que maintenant son combat contre Folcoche a changé de nature. Sa corpulence d'adolescent, ses initiatives, son assurance et son sens de la provocation impressionnent Folcoche. Il rêve d'être bientôt exclu de la famille. Alice Sapritch dans le rôle de Folcoche. Image extraite de l'adaptation de Pierre Cardinal en 1971. De la haine en héritage Les travaux recommencent à la Belle Angerie il faut désherber les allées du parc, cirer les parquets du salon... Pourtant un anniversaire va modifier le quotidien. Cela fait vingt-cinq ans que le vénérable René Rezeau a été élu à l'Académie française. Jacques Rezeau, le père de Jean, souhaite organiser une grande cérémonie familiale pour fêter l'illustre octogénaire. Le jour de la fête, il faut écouter un discours assommant de trois heures. Jacques Rezeau profite de cette journée pour vanter les valeurs de la bourgeoisie et de la famille. Jean, pour sa part, a trouvé cette cérémonie désuète et incongrue. La haine qu'il éprouvait pour ses proches s'étend maintenant à toute sa famille et à toute la bourgeoisie. Brasse-Bouillon et Folcoche se ménagent quelque peu. Jean a maintenant quinze ans et commence à désirer les femmes. Il jette son dévolu sur Madeleine. Un dimanche d'été, en fin d'après-midi, il parvient à la séduire sous l'oeil attentif de Frédie qui, à la fois, contrôle le voisinage et s'assure de la réussite de son frère. Pendant quelques semaines, Jean savoure sa conquête, mais très vite il s'irrite des marques de tendresse de Madeleine. Pour lui, les femmes ne peuvent être différentes de sa mère, c'est pourquoi il s'en méfie. Finalement, les trois garçons vont partir comme internes chez les Jésuites au Mans. Reste une haine définitive entre Folcoche et Jean. Cette animosité a façonné pour toujours la personnalité du narrateur. Il n'a plus confiance en rien ni en personne. Il quitte la Belle-Angerie "une vipère au poing". VipèreAu Poing Résumé Chapitre Par Chapitre Page 4 sur 21 - Environ 206 essais L'éducation sentimentale la façon de Dante et la façon dont Sarraute assemble ses souvenirs en fragments comme un collage d’images autonomes par des chapitres apparemment discontinus, qui pourtant s’enchevêtrent et entraînent le flou de la narration. Pour résumer : Livres Ebooks & liseuses Nouveautés Coups de cœur Livres à prix réduits Bons plans Papeterie Jeux Reprise de livres Vipère au poing, c'est le combat impitoyable livré par Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon, et par ses frères à leur mère, une femme odieuse qu'ils... Lire la suite 5,90 € Poche Actuellement indisponible 8,75 € Ebook Téléchargement immédiat 3,49 € Téléchargement immédiat 4,49 € Grand format Actuellement indisponible 22,40 € Livre audio Actuellement indisponible 17,00 € Actuellement indisponible 18,80 € En stock en ligne Livré chez vous à partir du 30 août Vipère au poing, c'est le combat impitoyable livré par Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon, et par ses frères à leur mère, une femme odieuse qu'ils ont surnommée Folcoche. Cri de haine et de révolte, ce roman, largement autobiographique, le premier d'Hervé Bazin, lui apporta la célébrité et le classa d'emblée parmi les écrivains les plus lus du XXe siècle. Date de parution 11/09/2018 Editeur Collection ISBN 978-2-253-23761-7 EAN 9782253237617 Format Poche Présentation Broché Nb. de pages 240 pages Poids Kg Dimensions 11,0 cm × 17,8 cm × 1,0 cm aSVWe.
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